Fiches Pays

Albanie


Nous y sommes restés : 4 jours pour 130 km  (Du 1er mars au 4 mars 2018) 


Villes : Durres, Shkoder
Sites naturels : 
Sites archéologiques : Château de Shkoder, Vieille ville de Durres
Divers : .Lac de Shkoder



Passage des frontières
Nous sommes sortis de Macédoine et entré en Albanie à :  Mali Vlay.  CNI


Argent et change
L'Albanie à pour monnaie le LEK Albanais
1 euro pour 132 ALL
ATM et bureaux de change dans toutes les villes.
Les magasins acceptent la CB.
L'Euro semble accepté partout.

Généralités :
Bien développé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage. Hiver. Soleil, pluie, neige. Température de -5° à 4°

Trouver de l’eau :
Aucun problème. On en trouve partout.
Eau potable. 

Relation avec les autochtones : Bonne. Accueillants.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous ne l'avons pas pratiqué du fait de la météo.
Hôtels : Un peu partout.  1500 - 2000 ALL
Camping : fermés en cette saison. 

Pour la nourriture :
Restaurants: Partout
Epiceries  super marchés : partout

Etat des routes.
Routes principales  Etat globalement correct. Pas de bas coté
Routes secondaires. Etroites, de mauvais état à complètement défoncées
Automobilistes  respectueux.

Equipement vélo et camping.
Magasins de vélos
Pour le camping. RIen vu.

Internet :
Les hôtels, les restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Le pays facile à voyager.
La ville de Shkoder
Les montagnes enneigées.
La tranquillité des routes secondaires

Ce que nous avons moins aimé : 
La météo



Macédoine


Nous y sommes restés : 7 jours pour  193 km  (Du 22 février au 28 février 2018) 


Villes : Skopje
Sites naturels : Parc national de Rila
Sites archéologiques : 
Divers : .Monastère Joakim Osogovski



Passage des frontières
Nous sommes sortis de Bulgarie et entrés en Macédoine à : Gyueshevo.  CNI


Argent et change
La Macédoine à pour monnaie le Denar Macédonien
1 euro pour 60 MKD BGN
ATM et bureaux de change dans toutes les villes.
Les magasins acceptent la CB. 

Généralités :
Très bien développé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage. Hiver, pluie, neige. Température de -5° à 4°

Trouver de l’eau :
Aucun problème. On en trouve partout.
Eau potable.

Relation avec les autochtones : Bonne. Accueillants.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous ne l'avons pas pratiqué du fait de la météo.
Hôtels : Un peu partout.  900 - 1200 MKD
Camping : fermés en cette saisons. 

Pour la nourriture :
Restaurants: Partout
Epiceries  super marchés : partout

Etat des routes.
Routes principales  Etat globalement correct. Pas de bas coté
Routes secondaires. Etroites, de bon à mauvais état
Automobilistes respectueux.


Equipement vélo et camping.
Magasins de vélos
Pour le camping rien vu

Internet :
Les hôtels, les restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Le pays facile à voyager.
Les montagnes enneigées.
Les petites routes

Ce que nous avons moins aimé : 
La météo

Bulgarie

Nous y sommes restés : 15 jours pour  412 km  (Du 15 février au 21 février 2018) 


Villes : Plovdiv
Sites naturels : 
Sites archéologiques : 
Divers : .



Passage des frontières


Nous sommes sortis de Turquie et entrés en Bulgarie à : Kapikule.  Tampon de sortie. CNI pour la Bulgarie.

Argent et change

La Bulgarie à pour monnaie le LEV Bulgare
1 euro pour 1,92 BGN
ATM et bureaux de change dans toutes les villes.
Les magasins acceptent la CB. 

Généralités :
Très bien développé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage. Hiver. Soleil, pluie, neige. Température de -5° à 4°

Trouver de l’eau :
Aucun problème. On en trouve partout.
Eau non potable dans certaines région/ville (Par exemple Haskovo contaminée au cyanure....) Pour le reste, nous l'avons bue. 

Relation avec les autochtones : Bonne. Accueillants.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous ne l'avons pas pratiqué du fait de la météo.
Hôtels : Un peu partout. De 25 à 40 BGN
Camping : fermés en cette saisons. 

Pour la nourriture :
Restaurants: Partout
Epiceries  super marchés : partout

Etat des routes.
Routes principales  Etat globalement correct. Pas de bas coté
Routes secondaires. Etroites, de bon à mauvais état
Automobilistes assez respectueux.


Equipement vélo et camping.
Magasins de vélos
Pour le camping. Des Decathlon dans les grandes villes.

Internet :
Les hôtels, les restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Le pays facile à voyager.
La ville de Plovdiv
Les montagnes enneigées.

Ce que nous avons moins aimé : 
La météo


Turquie

Nous y sommes restés : 37 jours pour  1 491 km  (Du 9 janvier au 14 février 2018) 


Villes : Antalya, Denizli, Izmir, Canakkale Edirne
Sites naturels : Pamukkale, la côte Méditerranéenne
Sites archéologiques : Hieropolis, Ephese, Troie, 
Divers : .



Passage des frontières


Nous sommes sortis de Chypre à Girne (Port) Rapide.  Tampon de sortie passage des bagages aux rayons X
Nous sommes entrés en Turquie à Tasucu (port) Tampon d'entrée. Rapide. Passage des bagages aux rayons X. 



Argent et change
La Turquie à pour monnaie la Livre Turque
1 euro pour 4,45 TRY
ATM partout. Certaines banques prennent des frais. Mais pas toutes. La Ziraat Bankasi n'en prend pas.
Les magasins acceptent la CB. 

Généralités :
Très bien développé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage. Hiver. Soleil, pluie, neige. Température de 25° à -15 °

Trouver de l’eau :
Aucun problème. On en trouve partout.
Eau non potable d'après les habitants. Nous l'avons bue.

Relation avec les autochtones : Excellente. Très accueillants.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué . Très facile partout.
Hôtels : Un peu partout. De 60 à 100 TRY 
Camping : Le long de la côte.

Pour la nourriture :
Restaurants: Partout
Epiceries  super marchés : partout

Etat des routes.
Routes principales  En bon état, avec bas coté. Souvent des 4 voies
Routes secondaires. Etroites, de bon à mauvais état
Routes tertiaires. Pistes.


Equipement vélo et camping.
De bons magasins de vélos, bien équipés
Pour le camping. Des Decathlon dans les grandes villes.

Internet :
Wifi libre dans quelques villes. Les hôtels, les restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Les habitants,
Les paysages variés,
Les visites archéologiques, les sites naturels
La facilité des bivouacs
La nourriture variée
Trouver de l'eau partout.

Ce que nous avons moins aimé : 
Le climat un peu froid et humide.
Les chiens errants

Chypre

Nous y sommes restés : 25 jours pour 756 km  (Du 15 décembre 2017 au 8 janvier 2018) 


Villes : Larnaca, Limassol, Pafos, Nicosie, Kyrenia
Sites naturels : Le massif de Trodos, la côte Méditérrannéenne
Sites archéologiques : Kourion, Temple d'appolon...
Divers : Chateaux, grottes.



Passage des frontières


Nous sommes sortis de l'Egypte au Caire (Aéroport) Rapide.  Tampon de sortie sans avoir contrôlé le visa que nous n'avions pas...

Nous sommes entrés à Chypre à Larnaca (Aéroport). Retour en Europe. Contrôle de l'identité très rapide. 


Argent et change
Chypre à 2 monnaie.
Au sud (coté Grec) l'Euro
Au Nord (coté Turc) La Livre truque.
1 euro pour 4,4 TRY
ATM partout. Coté Turc. Certaines banques prennent des frais. Mais pas toutes. La Ziraat Bankasi n'en prend pas.
Les magasins acceptent la CB. 

Généralités :
C'est L'Europe. Très bien développé.
L’Anglais y est bien parlé.

Météo : 
Durant notre passage, soleil et températures agréables. 4 jours de pluie.

Trouver de l’eau :
Aucun problème. On en trouve partout.
Eau potable.

Relation avec les autochtones : Très bonne. 

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué . Très facile partout.
Hôtels : Un peu partout. Attention, il y à énormément de chambres d'hôtes sans réception, ce qui oblige à prévenir à 'avance. Difficile sans moyen de communication.
Camping : quelques uns le long de la côte.

Pour la nourriture :
Restaurants: Partout
Epiceries  super marchés : partout

Etat des routes.
Routes principales  En bon état, avec ou sans bas coté.
Quelques pistes cyclables mais assez mal étudiées.
Routes secondaires. Etroites, de bon à mauvais état
Routes tertiaires. Pistes.
Attention, Chypre est une île aux pourcentages élevés. Autour du massif de Trodos, souvent des pentes de 9 à 12 %

Equipement vélo et camping.
De bons magasins de vélos, bien équipés
Pour le camping pas vu grand chose. Un "Intersport" à Limassol, mais pauvre en camping.

Internet :
Wifi libre dans les villes. Les hôtels, les restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Les habitants,
Les paysages,
Le climat
La facilité des bivoaucs
La nourriture variée
Trouver de l'eau potable partout.

Ce que nous avons moins aimé : 
Les pistes cyclables pas adaptées.
Les pentes vraiment raides (D'habitude on aime, mais avec le manque de forme de Patricia, nous avons modifié notre parcours).
Les grands détours pour passer la ligne verte entre Sud et Nord





Egypte


Nous y sommes restés : 23 jours pour 658 km  (Du 22 novembre au 14 décembre 2017) 


Villes : Assouan, Louxor, Qena, Hourgada, Suez, Le Caire
Sites naturels : Nil, Désert, Mer rouge
Sites archéologiques : Karnak, vallée des rois, Assouan, Qena, Giza
Divers 



Passage des frontières


Nous sommes sortis du Soudan à Wadi Halfa. Au port. Bordélique. Tampon de sortie après contrôle de la validité des visas. Contrôle de tous les bagages pour y apposer une étiquette de sottie.
Taxe de portuaire à payer au poste de police de Wadi Halfa (160 SDG pour 2)
Bateau (600 SDG + 100 SDG pour les vélos. Pour 2 personnes)
Restaurants, hôtels basiques, changeurs "black market", commerces.

Nous sommes entrés en Egypte au port d'Assouan. C'est le capitaine du bateau qui à remis nos passeports à l'immigration. Ce qui évite la longue queue. Passage des bagages dans un portique style aéroport.
Tampon d'entrée sur le passeport. Visa à payer dans une banque (bon courage).
Autorisation de séjourner : 1 mois + 2 semaines (annoncés comme cela.
Restaurants, hôtels toutes catégories, banques, commerces.




Argent et change
L'Egypte à pour monnaie la livre
Taux de change obtenu : 1 Euro = 20, 39 EGP
ATM Dans toutes les villes
Quelques magasins acceptent la CB. 

Généralités :
Le pays développé. 
L'Egypte est bon marché.
Marchandage recommandé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage, soleil et vent. Début de la saison fraiche....

Trouver de l’eau :
Aucun problème.
Aucune utilité de se charger.
Nous l'avons purifier parfois, bu telle quelle d'autres fois.

Relation avec les autochtones : Bonne. 

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué dans le désert le long de la mer rouge. Le long du Nil, c'est compliqué car vraiment beaucoup habité.
Prendre une douche : Dans les stations services.
Hôtels : Dans les villes, les lieux touristiques. Toutes catégories, tous les services. Ne pas hésiter à en visiter plusieurs. Qualité vraiment variable pour un même prix. 
Camping : Pas vus.

Pour la nourriture :
Restaurants et cuisines de rues : Partout
Epiceries : partout

Etat des routes.
Routes principales  Etat variables. Les grands axes sont relativement bons et avec bas coté.
Enormément de check point de police. Interdisant souvent de rouler. Obligation de monter dans un pick up (ou de le devancer pour les puristes). Itinéraires des oasis interdits, itinéraire le long du Nil (Louxor - Le Caire) interdit. Nous n'avons pas eu d'autre choix que celui de descendre le long de la mer rouge. Très venté et désertique.

Equipement vélo et camping.
Des petites boutiques sans matos récent dans toutes les villes.
Rien vu.

Internet :
Wifi libre inexistante. Les hôtels, certains restaurants. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Le désert,
La population,
Les villes,
l'histoire et les sites remarquables

Ce que nous avons moins aimé : 
Le vent extrêmement fort du nord.
L'impossibilité de choisir notre parcours.
Les escortes de Police




Soudan


Nous y sommes restés : 23 jours pour 1 679 km  (Du 30 octobre au 21 novembre 2017) 


Villes : Wad Madani, Khartoum, Dongola, Arbi, Wadi Halfa
Sites naturels : Nil, Désert
Sites archéologiques : 
Divers 



Passage des frontières


Nous avons passé la frontière Ethiopie - Soudan  au poste de Metema Sortie très rapide. Pas de fouille, pas de papiers.  Entrée plus administrative. Visa déjà en notre possession (demandé à Addis Ababa). Taxe d'enregistrement payable dans les 3 jours (faite sur place) 570 Pounds Soudanais par personne. EN SDG uniquement. Pas de fouille.
Autorisation de séjourner : 2 semaines pour le visa de transit obtenu à utiliser dans le mois de son obtention.
Renouvellement du visa. Fait à Khartoum. Bon courage. Long, difficile, pour 23 jours supplémentaires seulement. 1076 SDG par personne + photocopies + backshish
Restaurants, hôtels basiques, changeurs des 2 cotés.


Argent et change
Le Soudan à comme monnaie le Pound
Taux de change obtenu : 1 USD = 21 SDG
Pas d'ATM. Marché noir uniquement. Prévoir des USD
Pas de CB. Non relié pour cause d'embargo. 

Généralités :
Le pays est peu développé. 
Le Soudan est bon marché.
Marchandage recommandé. 
L’Anglais y est un peu parlé.

Météo : 
Durant notre passage, chaleur, soleil et vent. Début de la saison fraiche....

Trouver de l’eau :
Ne pas être trop regardant sur la couleur souvent terreuse. Bon goût en général.
Des jarres le long des routes, même dans le désert. contenant l'eau du Nil. Eau fraiche et bienvenue. Nous l'avons bu sans problème.
Aucune utilité de se charger.

Relation avec les autochtones :  Très accueillants et sympathique. Accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué très souvent. Super facile. Désert....
Prendre une douche : Dans les cafétérias. Un sceau, de l'eau.
Hôtels : Pas testés. Il existe des lokandas dans toutes les villes. Dortoirs avec lits. Très bon marché, mais souvent interdits aux femmes. Sinon, lits dans toutes les cafétéria.
Camping : Pas vus.

Pour la nourriture :
Restaurants : Dans les villes
Epiceries dans les villes.
Sur la route : Cafétérias assez régulièrement (50-70 km). Snack, boissons, foul, petite épicerie.
Restaurants moins cher que l'autogestion, mais peu variés.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées sans accotement. Peu fréquentées dans l'ensemble et chauffeurs respectueux.
Routes secondaires. sable.

Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
Rien vu.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi libre inexistante. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
Le désert,
La population,
Le peu de voitures sur les routes.

Ce que nous avons moins aimé : 
Le vent extrêmement fort du nord. Progression difficile (10 km/h)
Les mouches omniprésentes.
Les repas peu variés. Nous avons eu faim souvent.






Ethiopie


Nous y sommes restés : 30 jours pour 1 900 km  (Du 20 septembre au 29 octobre 2017) 


Villes : Addis Ababa, Arba Minch, Gondar, Bahir Dar
Sites naturels : Lac Tana, Vallée de l'Omo 
Sites archéologiques : Gondar
Divers 



Passage des frontières


Nous avons passé la frontière Kenya - Ethiopie au poste de Omorate Passage assez rapide. Déclarer ses biens.... (feuille non demandée à la sortie, ni sur la route).
Visa obtenu à l'ambassade de Nairobi en 3 jours. 60 USD pour 3 mois.(payables en USD cash uniquement).
Visa pas évident à obtenir. Officiellement n'en délivrent pas. Insister et demander une lettre de soutient de son ambassade. Persévérance et patience.
Autorisation de séjourner : 90 jours, mais le visa démarre le jour de son obtention.
Rien coté Kenya. Pas même un poste frontière. Prévoir à Lokdar.
Coté Ethiopien. Hébergements, magasins à Omorate. Change de rue. Premier ATM à Konso.

Argent et change
L'Ethiopie à comme monnaie la Birr.
Taux de change obtenu : 1 euro = 31,2 ETB
ATM dans toutes les villes moyennes et grandes.
Les CB sont très difficilement acceptées dans les petits commerces.

Généralités :
Le pays est peu développé. 
L'Ethiopie est bon marché.
Marchandage recommandé. 
L’Anglais y est très peu parlé.

Météo : 
Durant notre passage, nous eu un peu de pluie. Début de la saison. Orage en fin d'après midi

Trouver de l’eau :
Puits dans les villages. Eau au robinet dans les villes.
Ne pas être trop regardant sur la couleur ou le goût.
Nous avons utilisé le filtre à eau et acheté des bouteilles 

Relation avec les autochtones :  Horrible à 97%. Peu chaleureux, quémandeurs, arnaqueurs. Dans les campagnes, jets de pierres, mendicité arrogante. Un peu mieux dans les villes où en grattant bien, on peu trouver des personnes agréables.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons un pratiqué dans la vallée de l'Omo, Plus du tout ensuite, car trop de monde, collants et peu sur.
Hôtels : Très bon marché dans les villages pour une chambre basique. (Lit uniquement) (50 ETB) Une chambre plus confort. avec douche privée. (120 ETB). Un peu plus cher à la capitale et Gondar (300 ETB)
Camping : Pas vus.


Pour la nourriture :
Restaurants : Economiques, mais peu variés. Injera. Souvent moins cher que l'autogestion.
Pour le ravitaillement :  Des petits shop. Souvent achalandé avec le minimum dans les campagnes. Des magasins un peu plus fournis dans les villes.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées avec parfois accotement. Peu fréquentées.
Routes secondaires. Latérite, sable, tôle ondulée.


Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
les magasins pour voitures/motos ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.
Des réparateurs de vélos, un peu partout, mais sans outillage adéquate.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi libre inexistante. Internet cafés dans les villes, certains hôtels.

Ce que nous avons aimé : 
Les paysages assez variés,
Les routes de montagne,
Le peu de voitures sur les routes.

Ce que nous avons moins aimé : 
La population agressive
Les énormes 4x4 aux couleurs de UN - Save the childrens... Toujours garés dans les hôtels les plus luxueux.





Kenya

Nous y sommes restés : 22 jours pour 1139 km  (Du 8 septembre au 29 septembre 2017) 


Villes : Nairobi
Sites naturels : Lac Turkana 
Sites archéologiques : 
Divers 



Passage des frontières


Nous avons passé la frontière Tanzanie - Kenya au poste de Loitokitok. Passage rapide Visa sur place (50 USD
payables en USD cash uniquement).
Autorisation de séjourner : 30 jours. Tous les services coté Kenya. Moshi coté Tanzanie

Argent et change
Le Kenay à comme monnaie le Schilling Kenyan.
Taux de change obtenu : 1 euro = 118,97 KES
ATM dans toutes les villes moyennes et grandes. Certaines banques prennent des frais de retrait. La Stanbic n'en prend pas.
Les CB sont très difficilement acceptées dans les commerces.

Généralités :
Le pays est peu développé. 
La Kenya est bon marché.
Marchandage recommandé. 
L’Anglais y est parlé.

Météo : 
Durant notre passage, nous eu un peu de pluie. Début de la saison. Orage en fin d'après midi
Dans la région du Turkana, sec et désertique

Trouver de l’eau :
Pas évident à trouver. Puits dans les villages. Eau au robinet dans les villes.
Ne pas être trop regardant sur la couleur ou le goût.
Nous avons utilisé le filtre à eau et acheté des bouteilles 

Relation avec les autochtones :  Bonne. Plus difficile avec les tribus.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons peu pratiqué, car beaucoup d'habitations.
Hôtels : Très bon marché dans les villages pour une chambre basique. (Lit uniquement) (200) Une chambre plus confort. avec douche privés. (500 KES)
Camping : Pas testés. Celui de Nairobi était plus cher qu'une auberge.


Pour la nourriture :
Restaurants : Economiques, mais peu variés. Souvent moins cher que l'autogestion.
Super marchés : A Nairobi et dans les grandes villes..
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées avec parfois accotement.
Routes secondaires. Latérite, sable, tôle ondulée.


Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
les magasins pour voitures/motos ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.
Des réparateurs de vélos, un peu partout, mais sans outillage adéquate.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi libre inexistante. Internet cafés dans les villes, certains hôtels.

Ce que nous avons aimé : 
La tranquillité des campagnes.
Les paysages assez variés

Ce que nous avons moins aimé : 
Les pistes de sable
Le manque d'eau




Tanzanie

Nous y sommes restés : 28 jours pour 1261 km  (Du 11 août au 7 septembre 2017) 


Villes : Mbeya, Singida, Arusha, Moshi
Sites naturels : Mont Meru, Mont Kilimondjaro
Sites archéologiques : 
Divers 



Passage des frontières


Nous avons passé la frontière Zambie - Tanzanie au poste de Tunduma. Passage rapide Visa sur place (50 USD payables en USD cash uniquement).
Autorisation de séjourner : 90 jours. Tous les services de chaque coté

Argent et change
La Tanzanie à comme monnaie le Schilling Tanzanien.
Taux de change obtenu : 1 euro = 2600 TSH.
ATM dans toutes les villes moyennes et grandes. Certaines banques prennent des frais de retrait. La Stanbic n'en prend pas.
Les CB sont très difficilement acceptées dans les commerces.

Généralités :
Le pays est peu développé. 
La Tanzanie est bon marché.
Marchandage recommandé. Obligatoire dans les villes comme Arusha, Moshi....
L’Anglais y est très peu parlé.

Météo : 
Durant notre passage, nous n'avons pas eu de pluie. Mais montagnes souvent dans les nuages. Atmosphère assez lourde.

Trouver de l’eau :
Pas évident à trouver. Puits dans les villages.
Ne pas être trop regardant sur la couleur ou le goût.
Nous avons utilisé le filtre à eau et acheté des bouteilles (1,5 litre. 1000 TSH)


Relation avec les autochtones :  Bonne. Un peu collants et quémandeurs dans la région touristique des Monts Méru et Kilimonjaro.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons peu pratiqué, car beaucoup d'habitations.
Hôtels : Très bon marché dans les villages pour une chambre basique. (Lit uniquement) (5000 TSH) Une chambre confort. avec douche privés, TV, PDJ. (25 000 TSH)
Camping : Pas testés. Le seul que nous ayons vu, pratiquait des pris hallucinants. (remplis par les Overlanders).


Pour la nourriture :
Restaurants : Economique, mais peu varié. Souvent moins cher que l'autogestion.
Super marchés Pas vus.
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées avec parfois accotement.
Routes secondaires. Latérite, sable, tôle ondulée.


Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
les magasins pour voitures/motos ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.
Des réparateurs de vélos, un peu partout, mais sans outillage adéquate.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi libre quasi inexistante. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
La tranquillité des campagnes.

Ce que nous avons moins aimé : 
Les nuages sur les sommets.
Le vent du nord et Est.
Les gamins (et certains adultes) qui quémandent dans les lieux touristiques.



Zambie

Nous y sommes restés : 20 jours pour 834 km  (Du 22 juillet au 10 août 2017)  


Villes : Lusaka
Sites naturels : 
Sites archéologiques : 
Divers 



Passage des frontières


Nous avons passé la frontière Zimbabwe - Zambie au poste de Kariba. Passage rapide Visa sur place (50 USD payables en USD cash uniquement.
Autorisation de séjourner : 30 jours. Ville de Kariba coté Zimbabwe avec tous les services. Coté Zambie ; quelques changeurs de rue. Rien d'autre.

Argent et change
La Zambie à comme monnaie le Kwacha.
Taux de change obtenu : 1 euro = 10,05 ZMK
ATM dans toutes les villes moyennes et grandes.
Par contre les CB sont très bien acceptées dans les villes.

Généralités :
Le pays est peu développé. 
La Zambie est bon marché.
Marchandage pour la forme.
L’Anglais fait partie d'une des langues officielle du pays. Limité dans les campagnes.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à l'hiver, nous n'avons pas eu de pluie. Chaud dans la journée. Nuits fraiches. (top pour dormir)

Trouver de l’eau :
Tous les villages possèdent une pompe. Souvent située à proximité de l'école. Sinon puits.
Nous l'avons bue sans utiliser le filtre.
Ne pas être trop regardant sur la couleur ou le goût. 

Relation avec les autochtones :  Excellente. Un pays ou  nous nous sommes sentis bien. Pas "collants du tout".

Pour l’hébergement.

Bivouac : C'est le pays du bivouac. Du bush partout. Très facile.
Hôtels : pas testés
Camping : A Lusaka. 5 USD par personne.


Pour la nourriture :
Restaurants : Economique, mais peu varié. Souvent moins cher que l'autogestion.
Super marchés A Lusaka (Shoprite, Spar)
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées avec parfois accotement.
Routes secondaires. Latérite.

Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
les magasins pour voitures ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi libre quasi inexistante. Internet cafés dans les villes.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse  des gens, la tranquillité des campagnes.

Ce que nous avons moins aimé : 
La monotonie de la route
Le vent du nord et Est.




Zimbabwe


Nous y sommes restés : 13 jours pour 834 km  (Du 9 juillet au 21 juillet 2017)


Villes : Victoria Falls
Sites naturels : Parcs nationaux. Chutes Victoira
Sites archéologiques : 
Divers : Faune



Passage des frontières

Nous avons passé la frontière Bostwana - Zimbabwe au poste de Kazungula). Assez rapide étant donné qu'il faut faire un visa (30 USD payables en USD ou CB Visa) (Mastercard non acceptée)
Autorisation de séjourner : 30 jours. Ville de Kazungula coté Bostwana avec tous les services. Rien coté Zimbabwe. Il faut rejoindre Vic Falls.

Argent et change
Le Zimbabwe a comme devise le Dollar Zimbabween.
En fait, l'économie est basée sur le dollar US. Tout se paie en USD. il n'existe que le billet de 2 dollar en monnaie locale.
Attention les ATM ne distribuent pas d'argents (vides depuis des mois-années). Il est impératif d'avoir du cash USD avec soi en petites coupures.
Par contre les CB sont très bien acceptées dans les villes.
Astuce. On peut payer un peu plus avec sa CB et demander le remboursement en cash. (20 USD Max).


Généralités :
Le pays est peu développé. 
Le Zimbabwe reste bon marché.
Marchandage recommandé
L’Anglais fait partie d'une des langues officielle du pays.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à l'hiver, nous n'avons pas eu de pluie. Chaud dans la journée. Nuits fraiches. (top pour dormir)

Trouver de l’eau :
A Victoria Falls. Eau au robinet. Dans les campagnes eau à la pompe.
Nous l'avons bue sans utiliser le filtre.
Ne pas être trop regardant sur la couleur ou le goût. 

Relation avec les autochtones :  Excellente. Un pays ou  nous nous sommes sentis bien. Pas "collants du tout".

Pour l’hébergement.

Bivouac : 
Nous l'avons pratiqué très souvent sans aucun problème. Le Bush est un excellent endroit pour planter sa tente facilement. Attention toutefois aux parcs nationaux et à la Wild life.
Les habitants viendront vous saluer, mais ne resterons pas à vous regarder manger, monter votre tente.
Hôtels : pas testés
Camping : Camping dans les hostels à Victoria Falls uniquement.


Pour la nourriture :
Restaurants :.
Super marchés (SPAR Ok Food, TM) à Vic Falls
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum.

Etat des routes.
Routes principales  goudronnées avec parfois accotement.
Routes secondaires. Latérite, sableuse.


Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo...ni du camping.
les magasins pour voitures ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi dans les lodges et camping de Vic Falls.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse  des gens, les chutes Victoria, la tranquillité des campagnes, les animaux sauvages en profusions.... (Eléphants, zèbres, girafes...)

Ce que nous avons moins aimé : 
La difficulté des pistes.
Le vent d'Est.





Bostwana


Nous y sommes restés : 17 jours pour 1118 km  (Du 22 juin au 8 juillet 2017)


Villes : Ganzhi, Maun, Kasane
Sites naturels : Parcs nationaux. 
Sites archéologiques : 
Divers : Faune



Passage des frontières

Nous avons passé la frontière Namibie - Bostwana au poste de trans-Kalahari.(Buitepos - Charles Hills). Très rapide. Aucun papier demandé. Nouvelle taxe pour développement touristique de 30 euros (applicable depuis le 1er juin 2017) non demandé....) 
Autorisation de séjourner : 90 jours. Petit shop, ATM de chaque coté. Changeur coté Bostwana

Argent et change
Le Bostwana a comme devise le Pula
Taux moyen obtenu : 1 euro = 11 BWP
Des ATM dans toutes les villes. Pas de frais de retrait.
La FNB accepte les Mastercard (La banque de Gabarone uniquement les visas).
Cartes bancaires très bien acceptées dans les supermarchés, pas du tout dans les shops de villages.


Généralités :
Le pays est bien développé. 
Le Bostwana reste bon marché.
Marchandage recommandé
L’Anglais fait partie d'une des langues officielle du pays.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à l'hiver, nous n'avons pas eu de pluie. Chaud dans la journée. Nuits fraiches. (top pour dormir)

Trouver de l’eau :
Eau potable partout. Aucun problème particulier, même si le goût est parfois un peu terreux ou salé.
Région semi-désertique. Prévoir ses étapes. Nous n'avons jamais porté plus d'une journée en eau. Robinet dans les stations services, les commerces.

Relation avec les autochtones :  Excellente. Invitations et accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : 
Nous l'avons pratiqué très souvent sans aucun problème. Contrairement à l'Afrique du Sud et à la Namibie, il n'y a pas de barrières, ce qui permet de s'enfoncer facilement dans le bush. Attention toutefois aux animaux sauvages très présents dans les parcs. Eléphants, lions, léopards...Mieux vaut demander aux fermes ou habitations. Nous avons fait la mauvaise expérience d'un troupeau d'éléphants en pleine nuit.
Bon à savoir, les antennes télécom sont présentes un peu partout et gardées. Donc un bon endroit pour planter sa tente derrière des barrières. 
Hôtels : pas testés
Camping : La plupart des fermes et lodges font camping. Douche, point d'eau, wifi, Brai(BBQ). Environ 75 BWP par personne. Camping également dans tous les parcs nationaux (mais pas accessibles à vélo)


Pour la nourriture :
Restaurants : Nourriture classique (frites-saucisses). Pas cher. Un bon compromis pour ne pas pique niquer à midi....
(SPAR, Choppies, Shoprite...) souvent fermés le dimanche
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum. Prix un peu
plus cher, mais correct. .

Supermarchés dans les villes moyennes.

Etat des routes.
Routes principales bien entretenues, goudronnées avec accotement.
Routes secondaires. Pour 4x4 sableuse.


Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo... Magasins de cycle à Maun, bien achanlandé, mais propriétaire insupportable. Super cher.... A éviter sauf impératif.
Rien vu pour le camping.
les magasins pour voitures ont parfois des pneus vélos et chambres à air. Du costaud made in India.

Internet :
Difficile à trouver. Wifi dans les lodges et camping

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse et l'hospitalité des gens, la beauté des paysages, le ciel étoilé, la tranquillité des campagnes, les étendues désertiques, les animaux sauvages en profusions.... (Eléphants, zèbres, girafes...)

Ce que nous avons moins aimé : 
La monotonie des routes désespérément plates et droites.
Le vent d'Est.





Namibie


Nous y sommes restés : 27 jours pour 1556 km km (Du 26 mai au 21 juin 2017)

Points d'intérêts

Villes : 
Sites naturels : Parcs nationaux.  Fish River Canyon, Sossuslvei.
Sites archéologiques : 
Divers : Faune

Passage des frontières

Nous avons passé la frontière Afrique du Sud - Namibie à Aramsvlei. Très rapide. Aucun papier demandé
Autorisation de séjourner : 90 jours. Petit shop au village. 1er ATM, banque et supermarché à Karasburg.

Argent et change
La Namibie a comme devise le dollar Namibien
Taux moyen obtenu : 1 euro = 14,12 NAD
Des ATM dans toutes les villes. Pas de frais de retrait.
Cartes bancaires très bien acceptées partout.

Généralités :
Le pays est identique à l'Afrique du Sud. 
La Namibie reste bon marché.
Marchandage pas de mise, sauf sur les marchés "africains"
L’Anglais fait partie d'une des langues officielle du pays.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à l'automne, nous n'avons pas eu de pluie. Chaud dans la journée. Nuits fraiches. (top pour dormir)

Trouver de l’eau :
Eau potable partout. Aucun problème particulier, même si le goût est parfois un peu terreux.
Région désertique. Prévoir ses étapes. Nous n'avons jamais porté plus d'une journée en eau. Il faut parfois faire un détour (fermes) pour s'approvisionner en eau. Nous avons également sollicité les véhicules croisés pour obtenir le précieux liquide. (100 % de réussite). Robinet dans les stations services, les commerces.

Relation avec les autochtones :  Excellente. Invitations et accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Officiellement interdit pour des raisons de sécurités (animaux). Nous l'avons pratiqué très souvent sans aucun problème. Comme en Afrique du sud. Des barrières partout. Nous avons souvent planté la tente au bord de la route. Mais vu le trafic.. (inexistant la nuit), aucun problème.
Hôtels : pas testés
Camping : La plupart des fermes et lodge font camping. Souvent rudimentaire. Douche, point d'eau, Brai(BBQ). Quelques uns mais rares ont un espace herbeux. Environ 100 NAB par personne. Camping également dans tous les parcs nationaux.


Pour la nourriture :
Restaurants : Pas testés.
Supermarchés dans les villes moyennes.
A la capitale (SPAR, Chekeers, Pick and Pay, Shoprite...) ouverts souvent 7/7
Le plus souvent (hameau) Un shop. Souvent achalandé avec le minimum. Prix un peu plus cher, mais correct. Les shops dans les parcs nationaux, sont encore plus chers car destinés essentiellement aux touristes. Certains shop perdus dans les fermes et destinés uniquement aux locaux sont moins chers que les supermarchés, mais avec très peu de produits... (demander à la population, car pas d'enseigne)
Partout, bien regarder les dates de péremption....


Etat des routes.
Classés par ordre alphabétiques.
Les B sont les meilleures car Bitumés. Plus de trafic et plus de vitesse.
Les C. Nos préférées. Peu de monde, souvent bien entretenues. En fait cela dépend du dernier passage du scraper. Mais passage régulier sur les C
Les D : Plus délicates, ou défoncées. Souvent de bonnes parties sableuses
Les F : F. Comme faut éviter.

Equipement vélo et camping.
Pas le pays du vélo... Magasins de cycle à la capitale. Bien achalandés. Magasins de camping à la capitale. Idem Afrique du sud. Du lourd et costaud.
En dehors. Rien

Internet :
Difficile à trouver. Payant et prix élevé.
Les camping à la ferme et les Parcs Nationaux n'en possèdent pas.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse et l'hospitalité des gens, la beauté des paysages, le ciel étoilé, la tranquillité des campagnes, les étendues désertiques, la faune (Zèbres, Oryx, singes....)

Ce que nous avons moins aimé : 
Les barbelés présents absolument partout,
Les sales passages sableux ou en tôle ondulée. Un peu trop souvent.
Le vent qui se lève dans l'après midi. Souvent très fort et toujours de face.









Afrique du sud

Nous y sommes restés : 49 jours pour 2 279 km km (Du 7 avril au 25 mai 2017)

Points d'intérêts

Villes : Cape Town
Sites naturels : Parcs nationaux. Table Mountain, Cap de bonne espérance, Garden Road, Augrabies Falls
Sites archéologiques : 
Divers : Faune

Passage des frontières

Nous avons atterri à Cape Town.Très rapide. Aucun papier demandé du type Fièvre jaune (obligatoire en arrivant du Brésil) ou billet retour.
Autorisation de séjourner : 90 jours. Hôtels, commerces et changeurs de devises dès l'aéroport.

Argent et change
L'Afrique du Sud à comme monnaie le Rand Sud Africain
Taux moyen obtenu : 1 euro = 14,25 ZAR
Des ATM dans toutes les villes. Attention, Certaines banques prennent des frais.  La NetBank n'en prend pas.
Retrait limités à 3 000 ZAR. Cartes bancaires très bien acceptées partout.

Généralités :
Le pays ressemble vraiment aux USA. (Disposition des villes, Parcs Nationaux...)
L'Afrique du Sud reste bon marché.
Marchandage pas de mise, sauf sur les marchés "africains"
L’Anglais fait partie d'une des 11 langues officielle du pays.
Le petit guide gratuit "Coast to Coast", disponible dans la plupart des Guest House est bien pratique pour trouver les adresses de campings et autres infos utiles.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à l'automne, nous avons eu, 2 jours de pluie. (sécheresse)

Trouver de l’eau :
Eau potable partout. Aucun problème particulier, même si le goût est parfois un peu terreux. Des purificateurs d'eau dans les super marché. 1 ZAR pour 1 litre.

Relation avec les autochtones :  Excellente avec les "blancs". Invitations et accueil spontané.
Beaucoup plus difficile avec les "noirs". Encoure beaucoup de "barrières" doivent tomber.

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Pas toujours évident. Nous l'avons pratiqué très souvent. Le problème vient que tout est clôturé. Absolument partout. Parfois obligé de "sauter" les barrières pour s'éloigner de la route.
Hôtels : pas testés
Camping : Sur la côte beaucoup d'auberges "Backpackers" font camping, avec tout le confort. Cuisine, Wifi...
En dehors, se sont essentiellement des guest farm qui proposent un emplacement pour planter sa tente.
Les Parcs nationaux ont tous leur camping.
Peu de petites tentes. La plupart des campeurs arrivent en 4X4 et montent des énormes tentes tout confort.
En moyenne 80 ZAR par personne.


Pour la nourriture :
Restaurants : Pas testés.
Supermarchés dans toutes les villes moyennes et grandes. (SPAR, Chekeers, Pick and Pay....) ouverts souvent 7/7
Epiceries dans toutes les villes.  Fermeture vers 13 heures le samedi et fermées le dimanche.


Etat des routes.
Bon goudron sur les grands axes. Rarement des accotements.
Réseau secondaire : Pistes de terre bien entretenues ou goudronnées.
Vitesse excessive des automobilistes. ça frôle pas mal, par manque d'habitude de voir des cyclistes...

Equipement vélo et camping.
Vélocistes bien équipés dans les villes moyennes et grandes. De plus en plus de mal à trouver du matériel en 26"
Magasins de camping dans les villes moyennes et grandes. (Plus équipés pour le camping "lourd"), mais on trouve de bons produits. Marques Sud Africaine (First Ascent et K-Way)

Internet 
Wifi dans les auberges, cafés et camping le long de la côte.
Beaucoup plus difficile à trouver dans les campagnes et en dehors des lieux touristiques. Les camping à la ferme, les Parcs Nationaux, n'en possèdent pas.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse et l'hospitalité des gens, la beauté des paysages, le ciel étoilé, la tranquillité des campagnes, les étendues semi-désertiques, les anciennes routes sur la côte, la faune.

Ce que nous avons moins aimé : 
La vitesse excessive des automobilistes,
Les barbelés présents absolument partout,
La présence des serpents,






Brésil

Nous y sommes restés : 36 jours pour 1 625 km (Du 2 mars au 6 avril 2017) 

Points d'intérêts

Villes : Sao Bento do Sul, Sao Paulo et les villages de la côte
Sites naturels : 
Sites archéologiques : 
Divers :
Passage des frontières
Nous avons franchi la frontière Argentine-Brésil à Foz de Iguaçu. Très rapide.
Autorisation de séjourner : 90 jours. Hôtels, commerces et changeurs de devises de chaque cotés.

Argent et change
Le Brésil à comme monnaie le Réal Brésilien
Taux moyen obtenu : 1 euro = 3,23 BRL
Des ATM dans toutes les villes. Attention, Certaines banques prennent des frais.  La BRADESCO n'en prend pas.
Retrait limités à 1 500 BRL. Cartes bancaires très bien acceptés partout. 

Généralités :
Surement le pays d'Amérique du sud qui ressemble le plus à l'Europe occidentale.
Le Brésil est bon marché avec les produits nationaux. Beaucoup moins avec les produits d'importation. 
Marchandage pas de mise.
L’Anglais y est bien parlé dans les villes et par les jeunes.
On arrive à se débrouiller avec l'Espagnol...

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à la fin d'été et saison des pluies. Beaucoup de pluie, parfois pendant plusieurs jours. 

Trouver de l’eau :
Eau potable partout. Aucun problème particulier. 

Relation avec les autochtones :  Très bonne. Accueillants et chaleureux.

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Pas toujours évident. Nous l'avons testés très souvent, en essayant de trouver un toit pour s'abriter de la pluie. Souvent les églises. Grosse pression sur l'insécurité de la part des Brésilien. Ce qui rend un peu parano.
Hôtels : Environ 80 BRL Pour une chambre double avec sanitaires privés.
Camping : Très peu de camping. Nous en avons trouvé un le long de la côte. 

Pour la nourriture :
Restaurants : Beaucoup de restaurants à volonté, ou au poids. Prix très attractifs. Parfois préférable que l'autogestion.
Supermarchés ou grosses épiceries dans toutes les villes moyennes et grandes.
Epiceries dans toutes les villes.

Etat des routes.
Bon goudron sur les grands axes. Accotement.
Goudron de moins bonnes qualité sur les axes secondaires souvent sans accotement
Réseau tertiaire : Pistes de terre. Pas évident par temps de pluie.
Enormément de camions partout. Mais chauffeurs très corrects.

Equipement vélo et camping.
Bien achalandés dans les villes. Matériel d'importation plus cher qu'en France.

Internet 
Partout. Hôtels, supermarchés, places publiques...

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse et l'hospitalité des gens.

Ce que nous avons moins aimé : 
La saison des pluies,
les routes trop encombrées de camions


Uruguay

Nous y sommes restés : 9 jours pour 512 km (Du 6 au 14 mars 2017) 

Points d'intérêts

Villes : Colonia de Sacramento
Sites naturels :
Sites archéologiques : 
Divers : Les sources d'eau chaudes
Passage des frontières
Nous avons franchi la frontière Argentine-Uruguay à Colonia
Autorisation de séjourner : 90 jours. Hôtels, commerces et changeurs de devises de chaque cotés.


Argent et change
L'uruguay à comme monnaie le peso Uruguayen
Taux moyen obtenu : 1 euro = 28,51 Uyu
Des ATM dans toutes les villes. Attention, les banques prennent des frais à chaque retrait.  Essayer de retirer le maximum, mais souvent les retraits sont limités à 4 000 Uyu.
La carte Mastercard n'est pas très reconnue en Uruguay. La Visa est mieux représentée.

Généralités :
L'Uruguay à un niveau de vie et des prix plus bas qu'en Argentine.
Marchandage pas de mise.
Office du tourisme dans les villes. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant.
L'Espagnol Castillan est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : 
Durant notre passage, qui correspond à la saison d'été et des pluies. Beaucoup d'orages en début d'après midi et pluie l'après midi. 
Orages tropicaux.... Pluie violente. Nécessité de trouver un toit.

Trouver de l’eau :
Eau potable partout. Aucun problème particulier. 

Relation avec les autochtones :  Bonne. Accueillants et chaleureux.Un peu plus réservés qu'en Argentine. 

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Facile. Nous l'avons pratiqué souvent. La plus grande difficulté et de trouver un toit pour se protéger de la pluie.
Hôtels : Non testés
Camping :
Dans la plupart des villes. Souvent gratuits. Camping dans les thermes. (100 Uyu avec accès aux  piscines).

Pour la nourriture :
Restaurants non testés.
Nous avons préférés l'autonomie en faisant les courses dans les supermarchés.
Supermarchés ou grosses épiceries dans toutes les villes moyennes et grandes.
Epiceries dans toutes les villes.

Etat des routes.
Bon goudron sur les grands axes. Accotement.
Goudron de moins bonnes qualité sur les axes secondaires. Voire pistes de terre. 5pas évident par temps de pluie).

Equipement vélo et camping.
Pas cherché.

Internet 
Wifi dans les camping. Souvent des points Wifi gratuits dans les villes ou dans les office de tourisme.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse des gens.
les eaux thermales.

Ce que nous avons moins aimé : 
La platitude de l'itinéraire suivi.





Argentine

Nous y sommes restés : 103 jours pour 5 578 km (Du 25 septembre au 4 novembre, du 13 au 26 novembre, du 21 décembre 2016 au 2 janvier 2017, du 14 au 24 janvier, du 28 janvier au 5 février, du 15 février a u1er mars 2017) 

Points d'intérêts

Villes : Cafayate, El Calafate, El Chalten, Ushuaïa, Buenos Aires
Sites naturels : Fitz Roy, Perito Moreno, grands espaces, terre de feu, les chutes d'Iguazu.
Sites archéologiques : 
Divers : La faune : Guanaco, renards, castors....

Passage des frontières
Nous avons franchis 6 frontières différentes pour entrer en Argentine. A chaque passage nous obtenons un tampon de séjour pour 90 jours.
Attention : il est interdit d'importer des produits frais en Argentine. Fruits, légume, miel, fromage....
A aucun moment, nos sacoches n'ont étés contrôlées. 

Argent et change
L'Argentine à comme monnaie le pesos Argentin
Taux moyen obtenu : 1 euro = 15,5 Ars
Des ATM dans toutes les villes. Attention, les banques prennent des frais à chaque retrait. Environ 95 ars). Essayer de retirer le maximum, mais souvent les retraits sont limités à 2000 Ars. Les distributeurs sont souvent vides en fin de semaine.
Pour éviter les frais, il est possible dans certains magasins, comme les super marchés, de demander à payer plus que ses achats et recevoir la différence en espèces.
Il est donc préférable de payer ses achats en CB, mais énormément de magasins n'acceptent pas la CB.
En conclusion, avoir du cash et quand possible, payer en CB.
Anticiper son change. Car souvent de grandes distances entre la frontière et la première ville ou l'on pourra effectuer du change ou trouver un ATM.

Généralités :
L'Argentine à un niveau de vie et des prix occidentaux.
Marchandage pas de mise, mais souvent possible pour les hébergements.
Office du tourisme dans toutes les villes. Peu d'infos, mais souvent Wifi.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant.
L'Espagnol Castillan est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : 
Vu la grandeur du pays, on peut trouver tous les climats.
Sec et chaud au nord
Humide et froid en Patagonie
Cela dépend également des périodes. Saison sèche et saison humide.

Trouver de l’eau :
Eau potable. Demander avant dans les régions désertiques.
Bouteilles capsulées partout.
Dans les endroits désertiques, nous prenions de l'eau sur le bord des routes auprès des sanctuaires Gaucho Gil. Se sont des oratoires en bord de route ou les gens de passages font des dons en bouteilles d'eau.
Auprès des fermes ou des véhicules. Nous ne nous sommes jamais vu refuser de l'eau.
Patagonie. Aucun problème d'eau. Ruisseau en abondance.

Relation avec les autochtones :  Bonne. Accueillants et chaleureux. Nous avons souvent été invités.

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Facile. Nous l'avons pratiqué très souvent. De grands espaces. Attention au vent tout de même.
Nous avons régulièrement demandé la possibilité de dormir dans les Estancia (pour se protéger du vent en Patagonie). Jamais refusé et souvent on nous à trouvé un toit.
Il existe parfois des refuges pour les gauchos en bordure des pistes. Très bien pour les cyclistes.  

Hôtels : Chambre avec bain privé, wifi : 400 Ars pour 2.  Possibilité de camper dans beaucoup d'hôtels.

Camping :
Dans toutes les villes. Certaines villes possèdent des campings municipaux gratuits ou vraiment pas chers.
Camping privés environ 100 Ars par tête. Certains facturent la tente en plus.

Pour la nourriture : 
Restaurants souvent chers, mais aux quantités énormes.
Nous avons préférés l'autonomie en faisant les courses dans les supermarchés.
Supermarchés ou grosses épiceries dans toutes les villes moyennes et grandes.
Epiceries dans toutes les villes.

Les prix augmentent plus on descend. Dans les endroits touristiques les prix sont souvent plus élevés.
Fruits et légumes chers en Patagonie.
Etant donné une inflation de 40% par an, il ne sert à rien de donner des exemples de prix. 

Etat des routes.
Bon goudron sur les grands axes.
Ripio (gravier) sur les axes secondaires. De très bon à très mauvais.
Au nord, gravier et sable. Au sud. Gravier et pierres.
La 40, route mythique n'est goudronnée que en partie. Les parties non goudronnées vont de bonnes à très mauvaises...
ATTENTION : De part la loi. Le cycliste n'est que toléré sur la route. Il n'à aucun droit.
"Tout ce qui est à traction sanguine, est interdit sur les routes".
Il est donc préférable de se mettre de coté quand un bus ou un camion klaxonne. Il à le droit de t'écraser.....

Equipement vélo et camping.
Avoir du bon matériel. Difficile de trouver du bon matériel et prix catastrophiques. Le double de la France. Du à des taxes d'importation vraiment élevées. Si besoin de matériel (casse, perte), il est préférable de faire un détour au Chili.

Internet 
Wifi dans les hôtels, les camping. Souvent des points Wifi gratuits dans les villes ou dans les office de tourisme.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse des gens.
Les déserts du nord, la Patagonie, les grands espaces.
Calafate, les 7 lacs, Perito Moreno, Fitz Roy....
La terre de feu.

Ce que nous avons moins aimé : 
Les mauvaises pistes en tôle ondulée ou en sable.
Les bus qui frôlent un peu trop.
Le vent de face.




Chili

Nous y sommes restés : 51 jours pour 2 791 km (Du 17 au 24 septembre 2016, du 5 au 12 novembre 2016, du 27 novembre au 20 décembre 2016, du 3 au 13 janvier 2017, du 25 au 27 janvier 2017)


Points d'intérêts
Villes : Punta Arenas, Puerto Natales, Villa O'Higgins
Sites naturels : La Carretera Austral,
Sites archéologiques : 
Divers : La faune : Pingouins, Guanacos, Renards, Castors, Oiseaux, Hemuels....  

Passage des frontières
Nous avons franchis 4 frontières différentes pour entrer au Chili.
A chaque passage nous obtenons un tampon de séjour pour 90 jours.
Attention : il est interdit d'importer des produits frais au Chili. Fruits, légume, miel, fromage....
A aucun moment, nos sacoches n'ont étés contrôlées, mais c'est arrivé à d'autres cyclistes. Passage au scanner à certaines frontières. 

Argent et change
Le Chili à comme monnaie le pesos Chilien
Taux moyen obtenu : 1 euro = 712,05 pesos
Des ATM dans toutes les villes. Attention, Beaucoup de banques prennent des frais à chaque retrait.
En essayant toutes les banques, il est possible d'en trouver qui ne prennent pas de frais. Problème, ce n'est pas une banque en particulier. Une banque sans frais dans une ville, peut avoir des frais dans la ville suivante.
En général, banques sans frais. : BBVA ou Banco de Chile.
CB acceptée dans les grandes surfaces. Plus difficile pour les campings, hostels et petits commerces.
Il est préférable d'anticiper son change avant d'entrer dans le pays. Car souvent de grandes distances entre le passage de la frontière et la première ville ou l'on peut faire du change ou trouver un ATM.

Généralités :
Le Chili à un niveau de vie et des prix occidentaux.
Marchandage pas de mise, mais souvent possible pour les hébergements.
Office du tourisme dans toutes les villes. Peu d'infos, mais souvent Wifi.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant.
L'Espagnol Castillan est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : 
Vu la grandeur du pays, on peut trouver tous les climats.
Sec et chaud au nord
Humide et froid en Patagonie

Trouver de l’eau :
Eau potable. Demander avant dans les régions désertiques. (désert d'Atacama)
Bouteilles capsulées partout.
Dans les endroits désertiques; Nous avons demandé auprès des fermes, des postes de police ou des véhicules. Nous ne nous sommes jamais vu refuser de l'eau.
Patagonie. Aucun problème d'eau. Ruisseau en abondance.

Relation avec les autochtones :  Bonne. Accueillants et chaleureux. Nous avons souvent été invités.

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Facile. Nous l'avons pratiqué très souvent. De grands espaces. Attention au vent tout de même.
Nous avons régulièrement demandé la possibilité de dormir dans les Estancia (pour se protéger du vent en Patagonie). Jamais refusé et souvent on nous à trouvé un toit.
Il existe souvent des refuges pour les gauchos en bordure des pistes. Très bien pour les cyclistes.  

Hôtels : Chambre avec bain partagé, wifi : 18 000 pesos.  Campings entre 4 000 et 6 0000 par personne. Dépend de l'emplacement  de la qualité...

Camping :
Dans toutes les villes. Souvent avec une pièce commune et la cuisine. Très pratique en cas de pluie.

Pour la nourriture : 
Restaurants souvent chers, mais aux quantités énormes.
Nous avons préférés l'autonomie en faisant les courses dans les supermarchés.
Supermarchés ou grosses épiceries dans toutes les villes moyennes et grandes.
Epiceries dans toutes les villes.

Les prix augmentent plus on descend. Dans les endroits touristiques les prix sont souvent plus élevés.
Fruits et légumes chers en Patagonie. 

Etat des routes.
Bon goudron sur les grands axes.
Ripio (gravier) sur les axes secondaires. De très bon à très mauvais.
La Carretera Austral, route mythique n'est goudronnée que en partie. Les parties non goudronnées vont de bonnes à très mauvaises... 

Equipement vélo et camping.
Avoir du bon matériel. Magasins de vélos souvent bien achalandés. (Mais impossible de trouver du Schwalbe)
Prix identiques à la France.
En matériel de camping, la marque Doite fabriquée au Chili fait du bon matériel.
Les magasins Tatoo, (sorte de "vieux campeur"), ont du bon matériel. Ils peuvent expédier gratuitement dans tous le Chili.

Internet 
Wifi dans les hôtels, les camping. Souvent des points Wifi gratuits dans les villes ou dans les office de tourisme.

Ce que nous avons aimé : 
La gentillesse des gens.
Les déserts du nord, la Patagonie, les grands espaces.
La terre de feu.

Ce que nous avons moins aimé : 
Les mauvaises pistes en tôle ondulée ou avec trop de cailloux.
Le vent de face.




Bolivie

Nous y sommes restés : 27 jours pour  1 349 km du 21 août 2016 au 16 septembre 2016

Notre itinéraire : (en rouge = non revêtu)
Copacabana, Tiquina, Huarina, Batallas, El Alto, La Paz, Calamarca, Ayo Ayo, Patacamaya, Sica Sica, Coracollo, Oruro, Toledo, Corque, Ancaravi, Huanchacalla, Sabaya, Coipasa, Salar de Coipasa, Llaca, Salar d'Uyuni, Colchani, Uyuni, San Cristobal, Culpina K, Alota, Laguna Canapa, Laguna Chiar Kkota, Laguna Honda, Laguna Santa Cruz, Hôtel del Desierto, Arbol de Piedras, Laguna Colorada, Sol de Manana, Polques, Desierto de Dali, Laguna Verde, Laguna Blanca.


Points d'intérêts

Villes : Copacabana : Lac Titicaca - Bénédiction des autos.  La Paz : Coloniale : Uyuni : Oasis et cimetière de trains.
Sites naturels : Salars de Coipasa, Salar d'Uyuni, Sud Lipez, Parc national 
Sites archéologiques : 
Divers 


Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière PEROU - BOLIVIE  à : Yunguyo
Autorisation de séjourner : 90 jours. Commerces et changeurs de devises de chaque cotés. Hôtels à Yunguyo coté Pérou et Copacabana coté Bolivie

Argent et change
La Bolivie à pour devise le Bolivar (BOB) Taux de change moyen obtenu : 1 USD = 6,92 Bolivianos (Bob)
On trouve des ATM dans toutes les villes. 

Généralités :
La Bolivie est un pays bon marché.
Pas d'offices de tourisme
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol Castillan est très utile, malgré quelques particularités.
Marchandage recommandé partout, mais rapide.

Météo : 
A cette période. Saison sèche. Nous sommes restés sur l'altiplano. Les températures tombent dès le coucher du soleil. La nuit il fait froid au dessus de 4 000 mètres. (-20 degrés) Prévoir du bon matériel et des affaires chaudes. 

Trouver de l’eau :
Eau souvent non potable. Préférable de demander avant.
Bouteilles capsulées dans les commerces.
Beaucoup de villages sans eau courante. Réserves dans des bidons.
On ne nous à jamais refusé de remplir nos réserves.

Relation avec les autochtones :  Bonne. Accueillants et chaleureux. Contrairement aux informations reçues avant le passage de la frontière, nous avons toujours été bien reçus. 

Pour l’hébergement.

Bivouac :
 Facile. Nous l'avons pratiqué très souvent. La Bolivie est le pays du bivouac... De grands espaces. Attention au vent tout de même. 

Hôtels : Chambre avec bain privé, wifi : 7 Bob pour 2  Dortoir : 30 Bob par lit.  Possibilité de camper dans beaucoup d'hôtels. Ex Uyuni : Hôtel 3* Grande salle pour monter la tente. Tout confort : 25 Bob la tente.

Pour la nourriture : 
Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Menu : Soupe, Poulet-Riz, Boisson : 10 Bob.   Poulet Frites : 18 Bob

Pas vu un super marché. Mais des tiendas dans toutes les villes et des marchés bien pratiques où l'on trouve de tout.

10 pains : 10 Bob  2,5 litres de cola : 11 Bob, Boite de thon : 5 Bob  400 Gr de pates : 4 Bob, Pain de mie 550 Gr : 10,7 Bob, Confiture :454 Gr : 14,5 Bob  Snicker : 8 Bob  Chips (Gros paquet) : 11 Bob.  Gateaux style Cookies 250 Gr : 12 Bb.  8 Saucisses (Knacky) : 10, 2 Bob, Nutella 350 Gr : 53 Bob


Etat des routes : Beaucoup de pistes. De bon à très mauvais.... Traversée du sud Lipez (Catastrophique)
Quelques axes en béton. Pas beaucoup vu de goudron. 

Equipement vélo et camping. Avoir du bon matos, car trouver du matériel relève de l'exploit...Malgré un détour à La Paz pour acheter du matériel basique de vélo (Chaine, plateaux, K7, pneus...), nous n'avons pas pu tout trouver....

Internet : Wifi dans les hôtels milieu de gamme et les cafés dans les lieux touristiques. Cyber café dans les villes. 

Ce que nous avons aimé : 
Les déserts (Atacama), le Sud Lipez, Les salars d'Uyuni et Coipasa.

Ce que nous avons moins aimé :
Les poubelles à ciel ouvert. La Bolivie est un dépotoir.
La Paz.
La mauvaise qualité des pistes du Sud Lipez.

PEROU 

Nous y sommes restés :  90 Jours pour 3 979 Km du 23 mai 2016 au 20 août 2016


Notre itinéraire
 : (en rouge = non revêtu)
La Balza, Nambale, San Ignacio, Jaen, Chamaya, Bagua Grande, Puerto naranjitos, Salado, Tialanco, Pedro Ruiz, San PabloCaclic, Nuevo Tingo, Maria, Keluap, Tingo, Ubilon, Yerbabuena, Lemebamba, Passo Cala Calla (3600m), Achupas, Balsas, col, Celendin, Lomos del Indio,  col, Encanada, Banos del Inca, Cajamarca,  Namora, Matara, San Marcos, Chancay, Cajabamba, Marcabal, Laguna de Sausacocha, Huamachuco, Tres Rios, Cachicadan, Santa Cruz de Chuca, Angasmarca, Mollebampa, Mollepata, Shindol, Pallasca, La Galgada, Chuquicara, Mirador, Yuracmarca, Nueva Esperanza, Huallanca, Canyon del Pato, Caraz,Yungay, Ongo, Huashao, Entrée parc national, lagune, Porta Chuelo, Lagune, Vaqueria, Yerbabuena, Yanama, Col, Paccha, Sacha, Acochaca, Jambon, Chacas, Entrée du parc national Huascaran, Punta Olimpica, Brêche Punta Olimpica, Sortie Parc Huascaran, Shila, Carhuaz, Mullaca, Huaraz, Recuay, Catac, Pachacoto, Entrée du parc, Laguna Pastoruri, Col 1, Col 2, Pachapaqui, Concocha, Ticllos, Corpanqui, Cajamarquilla, Rajan, Llapa, Tumac, Yocchi, Cajatambo, Paso Pacomayo, Punta Chanca, Oyon, Abra Rapaz, Mine Iscayuaz, Rapaz, Huanchasi, Picoy, Parquin, Abra Chucopampa, PE1NC, Minas de Chungar, Abra Mio, Chungar, Punta Fierro Cruz, Abra la viuda Huayllay, Abra Alpamarca, Zantac, Marcapomacocha, Corpacancha, Santa Anna, Mal Paso, Paccha, La Oroya, Carretera Centrale, Vallée de Mantora, Sincos, Huancayo, Carretera central sur, Pampacruz, Imperial, Nahumpuquio, Izcuchaca, Huancapampa, Huando, Ayaccocha, Huancavelica, Astobamba, Oucapampa, Abra Chonta, Abra Huayraccasa, Mina caudalosa,

Punta Caudalosa Chica, Paso Esperanza, Mina Esperanza, Paso Carhuapata, Coollpapata, Licapa, Tunsuya, Occollo, Allpacchaca, CalzadaPE3S, Ocros, Chumbes, Ninabamba, Rio Blanco, Chincheros, Uripa, Totorabamba, Andahuaylas, Kishuara, Abancay, Curahuasi, Limatambo, Anta, Cuzco, Andahuaylillas, Urcos, Cusipata, Combapata, San Pedro, Sicuani, Abra La Raya, Ayaviri, Pucara, Juliaca, Puno, Llave, Juli, Yungayo.
Points d'intérêts

Villes : Cajamarca (coloniale), Cuzco (Coloniale)
Sites naturels : Cascade de Gocta (3ème plus haute du monde), Canyon del Pato (35 tunnels), Parc national de Huascaran, lac Titicaca.
Sites archéologiques : Forteresse de Keluap, Nécropole de Otuzco (Cajamaeca), Machu Piccchu
Divers 


Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière EQUATEUR - PEROU à : La Balza
Autorisation de séjourner : 180 jours.Commerces et changeurs de devises (de rue) coté Equateur. Commerce, hôtels et changeurs de devises (de rues) coté Pérou. Premier village à 6km coté Pérou. 

Argent et change
Le Pérou à pour devise le Sol Péruvien (PEN) Taux de change moyen obtenu : 1 USD = 3,33 Soles
On trouve des ATM dans toutes les villes. On peut retirer des USD dans la plupart des ATM.

Généralités :
Le Pérou est un pays bon marché.
Des offices de tourisme dans les villes. Très mal achalandées.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol Castillan est très utile, malgré quelques particularités.
Marchandage recommandé partout, mais rapide.

Météo : A cette période. Saison sèche. Pourtant averses dès le début de l'après midi (jusqu'à mi-juin)  Frais en montagne. Les températures tombent dès le coucher du soleil. La nuit il fait froid au dessus de 4 000 mètres. Prévoir du bon matériel et des affaires chaudes. 

Trouver de l’eau : Eau souvent non potable. Préférable de demander avant.
Bouteilles capsulées dans les commerces.
Robinets dans les stations services, les commerces. Nombreuses lagunes et rivières.

Relation avec les autochtones :  Bonne. Accueil spontané moins courant qu'en Equateur ou Colombie. 
Les Péruviens sont tranquilles et peu collant. 
Beaucoup de "Gringos". Mais pas agressif, plutôt sympa et bon enfant. 

Pour l’hébergement.

Bivouac : Facile. Nous l'avons pratiqué dans toutes les régions. Beaucoup de grands espaces. Jamais de refus quand nous demandions à camper dans un champ privé.

Hôtels : Chambre avec bain privé, wifi : 25 soles pour 2  Dortoir : 10 soles par lit.

Pour la nourriture, 

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Menu : Soupe, Poulet-Riz, Boisson : 4 Soles

Super marchés dans les villes. Moins avantageux que les tiendas ou les marchés. Dans tous les villages, marché municipal. On trouve de tout.

10 mandarines : 1 sole, 6 bananes (petites) 1 sole, 6 pains : 1 sole, 3 litres de cola : 5 soles, Boite de thon : 3 soles, 250 Gr de pates : 1,5 soles, Pain de mie 500 Gr : 7 Soles, Avocat : 1 sole,
Fruits et légumes un peu plus chers en altitude.


Etat des routes :  Axes nationaux : Goudron en super état. Autres routes : Pistes souvent défoncées. Cailloux, terre.
Sur les axes goudronnés, On rencontre les fous du volant. Ne ralentissent pas. Bloquent le Klaxon. Les pires : Les collectivos et les bus. Rétroviseur OBLIGATOIRE (pour sa survie).
En général petit bas coté sur les grands axes goudronnés et globalement peu de véhicules. 

Equipement vélo et camping. Quelques vélocistes dans les grandes villes. Jaen (bien achalandé). Huaraz (peu de matériel) Cuzco (Peu de matériel. Mieux vaut avoir un vélo en bon état....
Quelques magasins avec équipement basique de camping à Huaraz et Cuzco. 

Internet : Dans les hôtels et quelques cafés touristiques. 

Ce que nous avons aimé : 
Tout. Paysages, pistes, habitants.....   avec une préférence pour le nord du pays.

Ce que nous avons moins aimé :
Les chiens errants (Un peu trop nombreux et agressifs), les axes goudronnés avec les fous du volant.





EQUATEUR

Nous y sommes restés : 43 Jours pour 1431 Km du 10 avril au 22 mai 2016.
Notre itinéraire :  (en rouge : non goudronné)

Tulcan, Réserve écologique de El Angel, El Angel, San Isidro, Mira, Salinas, Tumbabiro, Chiriyacu, Urcuqui, Imantag,  Cotocachi, Quiroga, Laguna de Cuicocha, Quiroga, Otavalo, Pivarinshe, Araque, San Pablo del lago, Cayambe,  ligne de l’équateur, Oton, Ascazubi, El Quinche, Linéa ferrea, Ruta écologique « El Chaquinan «, Tumbaco,
Guangopolo, San Pedro del Tingo, San Rafael, Sangolqui, Los Chillos, San Fernando, Hacienda Santa Rita, Condor Machay, Entrée nord Tambopaxi, Parc nationale du Cotopaxi, Entrée sud Caspi, Lasso, Toacazo, Sigchos, Chugchilan, Quilotoa, Lagune de Quilotoa, Quilapungo, Zumbahua, Tigua, Pujili, Cusubamba, Mulalillo, Camino Real, Ambato, Via Flores, AguaJan, Cunuyacu, E491, Via Arenal Cruce del Arenal, Parc national du Chimborazo, Refuge Hermanos Carrel, entrée du parc Rumipamba, San Juan, Calpi, Panaméricaine, Cajabamba, Lagune de Colta, Guamote, Vishut, Palmira, Tixan, Alausi, Guasuntas, Chukchi, Santa Rosa, LLanos, El Tambo, Canar, Biblian, Azogues, Cuenca, El Cumbe, La Paz, Susudel, Ona, Saraguro, Santiago, Loja, Vilcabamba, Yangana, Valladolid, Pamanda, Palanuma, Bellavista, Isimanchi, Isimanchi, Zumba, El Tablon, El Chorro, La Chonta, La Balsa

Points d'intérêts

Villes : Tulcan (cimetière) Quito (coloniale), Otavalo (marché), Alausi (Marché) Cuenca (Coloniale), Vilcabamba (rando, tranquilité)
Sites naturels : Réserve del Angel, Laguna de Cuicocha, Cascade de Peluche, Cotopaxi, Lagune de Quilotoa, Canyon  de Tacochi, Chimborazo, 
Edifices religieux : Eglise de Balbanera (1ere église catholique d’Equateur
Divers : Ligne de l'Equateur.


Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière COLOMBIE - EQUATEUR à : Ipiales
Autorisation de séjourner : 90 jours.
Hébergements, commerces. Commerces Banques, ATM, Hôtels aux villes frontières (Environ 5 km du poste frontière). Sur place : Changeurs de rues.

Argent et change
L'Equateur à pour devise l'USD. 
On trouve des ATM dans toutes les villes. 

Généralités :
L'Equateur est un pays bon marché.
Des offices de tourisme (TUR) dans les villes. Très mal achalandées.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.
Marchandage recommandé sur les marchés. Prix indiqués dans les commerces.

Météo : A cette période. Saison des pluies. Averses dès le début de l'après midi. Frais en montagne.Les températures tombent dès le coucher du soleil.

Trouver de l’eau : Eau potable pratiquement partout. Préférable de demander avant.
Bouteilles capsulées dans les commerces. 1,5 litres pour 0,6 USD 5 litres pour 1,25 USD

Relation avec les autochtones :  Très bonne. Les Equatoriens sont chaleureux, accueillants.
Accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre. Mais les nombreuses clôtures le rendent un peu difficile;
Il est possible de dormir n'importe ou en demandant aux gens. Ils n'ont jamais refusé un bout de jardin.
Souvent ils proposent une pièce chez eux.
Autres solutions : Les pompiers. Ils sont habitués aux cyclistes. La Police (UPC). Les mairies qui ont souvent une salle ou des lieux gardés. (gymnases, stades...)
Quelques campings dans les lieux touristiques. 

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, bains privés, TV pour 15 USD (en moyenne).

On peut prendre des douches pour quelques centavos dans les stations services et les restaurants.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands.

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Menu : (riz-poulet-haricots rouges) pour 2 USD  Assiette de Frites + Cuisse de poulet pour 1 USD. Almuerzo avec Entrée, plat, dessert et boisson pour 2,5 USD

Pain de mie 750 Gr : 1,65 USD, Confiture 240 Gr : 1,10 USD, Biscuits (Oreo) 450 Gr : 3,5 USD, 1,35 litres de Coca : 1 USD.  Cacahuètes 250 Gr : 2 USD.  Pâtes 250 Gr : 0,75 USD, Boite de thon : 0,90  USD, Nutella 350 Gr : 6 USD, Sardines en boite 160 Gr : 0,80 USD, Sauce tomate 250 Gr : 1 USD, Bananes 25 petites : 1 USD, 4 avocats : 1 USD.

Etat des routes :Prévoir des développements adaptés... Le 22 x 34 à souvent été très limite....
Pour les grands axes. Bonne qualité avec sur-largeur. Panaméricaine Très bonne qualité avec sur-largeur.
Automobilistes très respectueux des cyclistes. 
Pour les axes secondaires : Peu fréquentés. Souvent des pavés ou de la terre.

Equipement vélo et camping. De l'échoppe de bord de rue aux magasins spécialisés. Dans pratiquement toutes les villes (L'Equateur devient un pays de cyclisme).  Rien vu pour le camping. Quelques magasins mal achalandés à Quito.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans les parcs publiques. Sinon, dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
TOUT. Les habitants, les paysages, la montagne....

Ce que nous avons moins aimé :
Les chiens errants (Un peu trop nombreux et agressifs), la pluie quotidienne, les routes en pavés.













COLOMBIE  (pays coup de coeur)

Nous y sommes restés : 46 Jours pour 1 874 Km du 24 février au 10 avril 2016.

Notre itinéraire :  (en rouge : non goudronné)

Capurgana (bateau jusqu’à) Turbo, Cumulao, Apartado, Carepa, Chigorodo, Mutata, Dabeiba, Uramita, Canasgordas, Santa fé de Antioquia, San Geronimo, Ebejico, Sevilla, Heliconia, San Antonio de Prado, Medellin, Itagui, Caldas, Primavera, Versalles, Santa Barbara, La Pintada, Arma, Aguadas, Pacora, Salamina, Aranzazu, Neira, Manizales, Chinchina, Pereira, Calarca, Cajarmarca Ibagué, Payande, San Luis, Guamo, Saldana, Natagaima, Pueblo Nuevo, Potosi, La Victoria, Villavieja, désert de Tatacoa,, Villavieja, Fortalecillas, Neiva, Rio frio, Campoalegre, Hobo, Potrerillos, Gigante, Garzon, Altamira, Timana, Pitalito, San Agustin, Pitalito, Mocoa, Trampoline de la Muete, San Francisco, Sibundoy, Colon, Santiago, Laguna de la Cocha, El Encano, Pasto, Calambuco, Tangua, Pedregal, Pinzon, Tuquerres, Laguna verde, Tuquerres, El Espino, Guachucal, Aldana, Piales, Sanctuaire Las Lajas, Piales.
Points d'intérêts

Villes : Santa fé de Antioquia, Medellin, Villages coloniaux Arma, Aguadas, Salamina. 
Sites archéologiques : San Agustin.  
Sites naturels : Désert de Tatacoa, Cascades de la fin du monde, Lac de la Cocha, Lagune verte. Edifices religieux : Sanctuaire de Las Lajas. 

Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière PANAMA - COLOMBIE à Capurgana.
Capurgana n'est accessible que par la mer (ou avion). Le douanier attend les bateaux et indique son bureau ou l'on reçoit le tampon d'entrée. 
Autorisation de séjourner 180 jours.
Hébergements, commerces. Aucun ATM Taux peu intéressant.
Nous avons changé quelques Pesos à Panama city.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 3 420 COP
Meilleur taux obtenu : Banco de Bogota
On trouve des ATM dans toutes les villes. 
Bureau de change pour le cash peu nombreux et difficiles à trouver (sauf à Medellin)

Généralités :
La Colombie est un pays bon marché.
Pas d offices de tourisme officielles. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Début de la saison des pluies. Averses dès le début de l'après midi. Chaud en plaine. Frais en montagne.Les températures tombent dès le coucher du soleil.

Trouver de l’eau : Attention. Eau potable pratiquement partout. Préférable de demander avant.
Bouteilles capsulées dans les commerces ou poches à eau de 6 litres pour 1 200 COP.

Relation avec les autochtones : Excellente. Les Colombiens sont très accueillants, sympathique, curieux, généreux.
Accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre. Mais les nombreuses clôtures le rendent un peu difficile;
Il est possible de dormir n'importe ou en demandant aux gens. Ils n'ont jamais refusé un bout de jardin.
Souvent ils proposent une pièce chez eux.
Autres solutions : Les pompiers. Ils sont habitués aux cyclistes. La Police (pas partout). Les mairies qui ont souvent une salle ou des lieux gardés. (gymnases, stades...)
Quelques campings dans les lieux touristiques. Souvent la cour d'un hôtel pour 6 000 COP la tente.

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, bains privés pour 25 000 Cop (en moyenne). Luxe avec piscine, TV.... pour 40 000 COP.

On peut prendre des douches pour quelques pesos dans les stations services et les restaurants.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands.

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Menu avec soupe, boisson, plat (riz-poulet-haricots rouges) pour 4 000 COP (en moyenne).
Truite avec pommes de terre, soupe, boisson dessert pour 7 000 COP.

Pain de mie 600 Gr : 3 500 COP, Confiture 400 Gr : 3 800 COP, Biscuits 350 Gr : 2 000 COP, 3 litres de Coca : 5000 COP. 1 litre de lait : 2 800 COP. 1 oeuf : 300 COP. Cacahuètes 500 Gr : 6 800 COP. Barres Céréales boite de 6 : 4 500 COP. Pates de fruits : 5 500 COP, Pâtes 250 Gr : 1 400 COP, Boite de thon : 3 100 COP

Etat des routes : Pour les grands axes. Goudronnées et fréquentées. Bonne qualité avec surlargeur. Automobilistes respectueux des cyclistes. 
Pour les axes secondaires : Peu fréquentés. Souvent des pistes étroites.

Equipement vélo et camping. De l'échoppe de bord de rue aux magasins spécialisés. Dans pratiquement toutes les villes (La Colombie est un pays de cyclistes).  Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans les parcs publiques. Sinon, dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
TOUT. Les habitants, les paysages, les cascades, les routes...l

Ce que nous avons moins aimé :
Les chiens errants. (histoire de dire quelque chose).







Panama


Nous y sommes restés : 11 Jours pour 671 km du 13 février au 23 février 2016

Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière Costa Rica - Panama à : Paso Canoas.
Passage ultra rapide. Aucun justificatif demandé.

Frontière classique avec sa file de camion que l'on remonte. Passage rapide.
Hébergements, commerces de chaque coté. Banques et commerces de chaque coté.

Argent et change
Le Costa Rica  à pour monnaie le Dollar US. Les pièces sont des Balboas.
On trouve des ATM dans toutes les villes.

Généralités :
Pays plus riche que ses voisins du nord.
L’Anglais y est assez bien parlé.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Saison sèche. Journées chaudes. Beaucoup de vent

Trouver de l’eau : Eau potable. Partout, magasins, station service, habitants...

Relation avec les autochtones : Bonne.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué tous les soirs. Pleine nature, mais pas évident. Beaucoup de maisons et clôtures.
Les casernes de pompiers ou centre de santé sont également des bons endroits.

Hôtels : A Panama City. Dortoir à 15 USD par pax.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Supermarchés dans les grandes villes. Vie identique à la France.

Restaurants un peu partout : Non testés

Pain de mie 600 Gr : 2,25 USD, Confiture 500 Gr : 3,5 USD, Biscuits 350 : 1,8 USD, 2,5 litres de Coca : 2,5 USD, 1 litre de lait : 1,6 USD , 

Etat des routes : Nous n'avons pratiqué que la Panaméricaine. Bon état.
La route pour aller à Carti. Affreusement raide, mais goudronnée.

Equipement vélo et camping. Pas cherché Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI gratuites dans les auberges, les restaurants, les cafés. Rien sur la côte du Darien

Ce que nous avons aimé :
Le cabotage du Darien
La propreté.
Le canal de Panama
La ville de Panama 

Ce que nous avons moins aimé :
La Panaméricaine, un peu fréquentée
La mer trop houleuse lors du cabotage.(vélo cassé)


Informations pour le contournement du Darien.

De Panama city, il y à une route qui mène à Carti. (n'apparait pas sur Google Map) 64 km depuis Chepo, dont 41 très raides (montées comme descentes).  Arrivée à Carti, il y deux ports. Celui de Tulipe permet de trouver une lancha pour la Colombie. Le premier port permet de se rendre sur les îles.
La lancha pour Puerto Obaldia (tampon de sortie du Panama) se négocie aux alentours de 110 USD par pax.
Le trajet à duré 7 heures. La période de Janvier à mars connait des vents violents, ce qui rend la mer démontée avec de grosses vagues et un bateau qui "tâpe" fort. Bien protéger ses vélos pour éviter notre mésaventure de casse.

De Puerto Obaldia à Capurgana (Tampon d'entrée en Colombie), la lancha se négocie aux autour de 15 USD par pax; Durée 30 minutes.

A Capurgana, il y à des services réguliers pour Turbo ou Necocli.
Pour Nécocli un beau bateau part 2 fois par jour. (Durée 1 heure)
Pour TUrbo, il y à un catamaran qui fait le trajet tous les 2 jours départ 10h30 Durée 2 heures.: 140 000 Pesos Colombien pour 2 personnes + Vélos : 50 000 Pesos pour les 2 vélos. (Celui que nous avions choisi mais qui à été annulé pour cause de papiers non conformes....)
Il y à également un service de lancha quotidien. Départ 8 heures. Durée 2 heures. La lancha est assez grosse et permet d'installer les vélos confortablement. Tarif : 120 000 pesos pour 2 personnes + 50 000 pesos pour 2 vélos. + 1000 pesos par kilo de bagages supérieurs à 10 kg par personne.

Tous les trajets mouillent pas mal. Attention à la rouille.

Attention. pas d'ATM depuis Chepo jusqu'à Turbo. Prévoyez des USD et des pesos. Nous avons changé des USD en pesos à Panama city. Taux plus intéressant qu'à Capurgana.




Costa Rica


Nous y sommes restés : 9 Jours pour 708 km du 4 février au 12 février 2016
Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière Nicaragua - Costa Rica à : Penas Blancas.
Taxe de sortie du Nicaragua : 7 USD. A payer avant de faire la queue pour le tampon de sortie... Petite fourgonnette un peu plus loin. (Attention ils demandent 1 USD de frais de service en plus...)
Aucun frais pour le Costa Rica.

Frontière classique avec sa file de camion que l'on remonte. Passage rapide.
Hébergements, commerces de chaque coté. Banques et changeurs de rue. La banque ne reprend pas les Cordobas contrairement aux changeurs dans la rue.

Argent et change
Le Costa Rica  à pour monnaie le Colon. Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 534 CRC
On trouve des ATM dans toutes les villes.

Généralités :
Pays plus riche que ses voisins du nord.
L’Anglais y est assez bien parlé. Grâce aux très nombreux touristes d'Amérique du Nord.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Saison sèche. Journées chaudes, nuit un peu moins. Ce qui permet de dormir.

Trouver de l’eau : Eau potable.
Partout.
Relation avec les autochtones : Bonne.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l'avons pratiqué tous les soirs. Pleine nature.
Les casernes de pompiers ou centre de santé sont également des bons endroits.

Hôtels : Non testé

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Vie assez chère.

Restaurants un peu partout : Non testés

Pain de mie 600 Gr : 1 400 CRC, Confiture 500 Gr : 2 500 CRC  , Biscuits 350 : 900 CRC , 2 litres de Coca : 1 900 CRC. 1 litre de lait : 540 CRC , 1 Mandarine : 30 CRC 1 banane: 50 CRC

Etat des routes : Bonnes. Routes secondaires en terre.

Equipement vélo et camping. Assez bien achalandé Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI gratuites dans les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
Le camping en pleine nature
La propreté.
La péninsule de Nicoya, malgré ses pistes épouvantables et son tourisme de masse.

Ce que nous avons moins aimé :
Le tourisme de masse. Perte d'identité des habitants.



Nicaragua


Nous y sommes restés : 8 Jours pour 503 km du 26 janvier au 3 février 2016.
Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière Honduras - Nicaragua à : Guasaule

Frontière classique avec sa file de camion que l'on remonte. Passage rapide, mais assez bordélique. Pendant la pause de midi, tout le monde passe par un guichet unique.... Entrée, comme sortie.
Taxe 3 USD pour le tampon et 10 USD de carte de tourisme.
Hébergements, commerces de chaque coté. Banques et changeurs de rue. (taux identiques)

Argent et change
Le Nicaragua à pour monnaie le Cordoba. Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 28 NIO
On trouve des ATM dans toutes les villes.

Généralités :
Pays pauvre.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Saison sèche. Journées chaudes, nuit un peu moins. Ce qui permet de dormir.

Trouver de l’eau : Eau potable en général. (Préférable de demander avant)
Bouteilles capsulées dans les commerces, ou petites poches d'eau de 50 cl. Bien pratique pour avoir toujours de l'eau fraiche.
Relation avec les autochtones : Bonne. Accueil spontané

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué dans les restaurants, les hôtels ou en demandant un endroit dans la cour des habitations. Jamais refusé.
Les casernes de pompiers ou centre de santé sont également des bons endroits. (refus à Granada)

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, WC 10 USD. 

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Peu de super marchés. 

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex :. Morceau de Poulet, Riz, Légumes, Frijoles + boisson : 70 NIO

Pain de mie 600 Gr : 42 NIO, Confiture 500 Gr :  21 NIO  , Biscuits 350 : 19 NIO , 2 litres de Coca : 35 NIO . 1 litre de lait : 17 NIO , 1 Mandarine : 5 NIO 1 banane: 1,5 NIO 

Etat des routes : Correct dans l'ensemble. Routes secondaires en pavés ou en terre.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI gratuites dans tous les "parque centrale" dans les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
La connexion wifi dans les parcs.
Les habitants, les villes de Leon, de Granada. 
L'île d'Ometepe
Les paysages volcaniques.

Ce que nous avons moins aimé :
Les villes de Managua, Massaya
Le manque de vélocistes bien équipé..
Le manque de poubelles...
Les moustiques,






Honduras

Nous y sommes restés :  2 Jours pour 146 km du 25 janvier au 26 janvier 2016.
Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière  El Salvador - Honduras à El Amatilo

Frontière classique avec sa file de camion que l'on remonte. Taxe de 3 USD pour le tampon. (avec reçu).
Hébergements, commerces de chaque coté. Pas de banques. On peut changer dans la rue.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 21 Lempiras.
On trouve des ATM dans toutes les villes. 

Généralités :
Pas d offices de tourisme. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Saison sèche. Journées chaudes, nuit un peu moins. Ce qui permet de dormir.

Trouver de l’eau : Attention. Eau non potable.
Bouteilles capsulées dans les commerces, ou petites poches d'eau de 50 cl. Bien pratique pour avoir toujours de l'eau fraiche. Point d'eau collectif sous forme de pompe dans les villages.
Relation avec les autochtones : Bonne. Contrairement aux idées reçues, aucune animosité envers les "touristes".

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous n'avons passé qu'une nuit au Honduras. Bivouac chez les pompiers de Choluteca.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Peu de super marchés. 
Pas d'exemple de prix. Nous sommes passés en autonomie.

Etat des routes : Nous avons suivi exclusivement les routes CA 1 et CA 3. De bonne qualité avec sur-largeur.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Rien vu pour le camping.

Internet : Pas testé.

Ce que nous avons aimé :
L'accueil des pompiers de Choluteca.

Ce que nous avons moins aimé :
Le manque de poubelles...






El Salvador

Nous y sommes restés :  9 Jours pour 430 km du 16 janvier au 24 janvier 2016.
Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière Guatemala - El Salvador à La Hachadura

Frontière classique avec sa file de camion que l'on remonte. Passage coté piéton. Rapide. 
Hébergements, commerces de chaque coté. Par contre pas de banques. On peut changer dans la rue. 

Argent et change
Le Salvador à pour monnaie le Dollar US.
On trouve des ATM dans toutes les villes. Utile pour retirer des USD avant de poursuivre son voyage.

Généralités :
Pas d offices de tourisme. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.

Météo : A cette période. Saison sèche. Journées chaudes, nuit un peu moins. Ce qui permet de dormir.

Trouver de l’eau : Attention. Eau non potable en général. Mais certain village ont équipés les puits de filtres. 
Bouteilles capsulées dans les commerces, ou petites poches d'eau de 50 cl. Bien pratique pour avoir toujours de l'eau fraiche. Point d'eau collectif sous forme de pompe dans les villages.
Relation avec les autochtones : Bonne. Contrairement aux idées reçues, aucune animosité envers les "touristes".

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué dans les restaurants ou en demandant un endroit dans la cour des habitations. Jamais refusé.
Les casernes de pompiers ou centre de santé sont également des bons endroits.

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, WC 10 USD.  (Le double sur les plages touristiques)

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Peu de super marchés. 

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Pupusas : 1 USD les 3. Morceau de Poulet, Riz, Légumes, Frigoles : 1 USD.

Pain de mie 600 Gr : 1,5 USD, Confiture 500 Gr : 2,4 USD, Biscuits 350 : 1,6 USD , 1,5 litres de Coca : 0,9 USD (Consigné)  . 1 litre de lait : 1,2 USD , 25 Mandarines : 1 USD. 1 Ananas (gros) : 1 USD, 1 Pastèque (petite) 1 USD.

Etat des routes : Nous avons suivi exclusivement la route du littoral. De bonne qualité avec sur-largeur.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
Les habitants, Les plages du Pacifique et leurs grosses vagues.

Ce que nous avons moins aimé :
Le manque de vélocistes bien équipé..
Le manque de poubelles...
Les moustiques,



GUATEMALA

Nous y sommes restés :  23 Jours pour 906 km du 19 décembre au 24 décembre 2015 et du 30 décembre 2015 au 15 janvier 2016.

Passage de la frontière 
Nous avons franchi la frontière Mexique - Guatemala à Frontera Corozal.

Toute petite frontière. Coté Mexique il faut faire la démarche auprès des douanes pour obtenir le tampon de sortie.
Coté Guatemala, le poste frontière se trouve en retrait de la route à la sortie de Bethel. Les douaniers essaient de soutirer des Quetzals pour le droit d'entrée. Malgré le panneau qui parait officiel, c'est une arnaque. Ils n'insistent pas trop.
On passe la frontière en bateau.
Hébergements, commerces de chaque coté. Par contre pas de banques. On peut changer dans la rue. Le taux est intéressant. Le premier ATM se trouve à 40 kilomètres.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 7,54 QTZ
On trouve des ATM dans toutes les villes. Par contre, change limité et queue énorme devant les distributeurs. 
Le change en cash est plus rapide (souvent limité à 300 USD par jour.)
La Banco Industrial propose de bons taux.
A Antigua, énormément de queue (1 heure) pour le change à la Banco Industrial du Parque Central.
Préférez celle du terminal de bus. Aucune queue.

Généralités :
Pas d offices de tourisme. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités.
27 autres dialectes parlés par les indigènes.

Météo : A cette période. Saison sèche. Nous avons eus quand même quelques journées de pluie. 
Chaud dans la région de Tikal. Frais dans les montagnes.

Trouver de l’eau : Attention. Eau non potable au Guatemala.
Bouteilles capsulées dans les commerces. Ou mieux, les magasins qui filtrent l'eau, plus difficiles à trouver et moins nombreux qu'au Mexique. Point d'eau collectif sous forme de pompe dans les villages.

Relation avec les autochtones : Bonne. Les Guatémaltèques sont sympathiques et polis.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué dans les restaurants ou en demandant un endroit dans la cour des habitations. Jamais refusé.
Un peu plus délicat dans les villages indigènes. 
Les casernes de pompiers ou centre de santé sont également des bons endroits.

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, WC turc et Seau pour la douche) 50 QTZ à très correcte 150 QTZ

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Peu de super marchés. 

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : tacos à 3 QTZ, Assiette de saucisses 12 QTZ 

Pain de mie 600 Gr : 19 QTZ, Confiture 500 Gr : 12 QTZ, Biscuits 350 : 10 QTZ, 3 litres de Coca : 17 QTZ. 1 litre de lait : 10 QTZ, 1 Kg de bananes : 2 QTZ. 12 oeufs : 14 QTZ. 3 Ananas : 10 QTZ

Etat des routes : Pour les grands axes. Goudronnées, et de qualité variable. Pas de bande cyclables. Automobilistes respectueux des cyclistes. 
Pour les axes secondaires : Peu fréquentés. Souvent des pistes en mauvais état.
Dans les montagnes, les pourcentages sont impressionnants. Petits braqués très conseillés. Attention dans les descente au jantes qui chauffent à en faire éclater les chambres à air.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Dans les grandes villes on peu trouver un vélociste qui a du matériel de qualité, mais faut chercher. Jamais trouvé un moyeu de pédalier externe. Difficile de trouver un démonte roue libre....  Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
Les habitants, les paysages, Tikal, Antigua, Rio Dulce, Le lac Atitlan. Les pistes sèches.

Ce que nous avons moins aimé :
Le manque de vélocistes bien équipé..
Le manque de poubelles...
Les moustiques,
Les pistes de boue.
Les pourcentages trop élevés.
Les pavés d'Antigua





BELIZE


Nous y sommes restés : 5 Jours pour 331 Km du 25 décembre au 29 décembre 2015.

Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière Guatemala - Belize à Benque viejo del Carmen
Petite frontière. On quitte le Guatemala avec le tampon de sortie. On entre au Belize 100 mètres après. Laisser les vélos dehors et entrer dans le poste de douane piéton pour demander son tampon d'entrée. Gratuit pour 30 jours. On ressort du poste d douane pour passer coté voiture... Du coup aucun contrôle de bagages.
Hébergements, commerces, ATM et changeurs de chaque coté.
Attention : Taxe de sortie de 20 USD ou 40 Blz.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 2 dollars Béliziens. Taux valable partout. Inchangé depuis des décennies.
On trouve des ATM dans toutes les villes. Nous avons changé dans la rue. Noël oblige.

Généralités :
Pas d offices de tourisme officielles. 
L’Anglais et l'Espagnol sont les langues officielles.
Pays plus cher que ces voisins.

Météo : A cette période. Saison sèche, mais avec des pluies possible.. Il fait chaud, mais l'air marin rend supportable. 

Trouver de l’eau : Se renseigner pour l'eau potable. Dans certaines villes.
Bouteilles capsulées dans les commerces, Fontaines au bord des routes. (nous avons purifié)
Relation avec les autochtones : Bonne. Les habitants sont "cools", nonchalants et sympathiques.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre.

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, WC turc et douche froide : 50-60 Blz (25-30 USD)

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands. Très souvent tenus par la communauté Chinoise.
Pas testé de restaurant.
Nous avons fait très peu de provisions. Mais le coût est le double du Mexique.

Etat des routes :
Les routes sont plates. Pour les grands axes. Goudronnées, et de qualité correcte. Pas de bande cyclables. Automobilistes peux nombreux et respectueux des cyclistes. 
Pour les axes secondaires : goudronnés avec des trous.


Equipement vélo et camping. Nous y étions entre Noël et jour de l'an. Beaucoup de magasins fermés. Il semble que les Béliziens,fassent du vélo pour le loisir. Nous avons croisés des groupes avec du bon matériel.    Mais n'avons pas vu de magasins. Rien vu pour le camping non plus.

Internet : Des connections WIFI dans les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
La tranquillité des habitants. La culture "Caraïbe"différente du reste de l'Amérique centrale. La mer des Caraïbes.

Ce que nous avons moins aimé :
Les routes un peu monotones.




MEXIQUE

Nous y sommes restés : 72 Jours pour 4 826 Km du 08 octobre au 18 décembre 2015.

Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière USA-Mexique à Tijuana.
Plus grande frontière du monde. On passe par l'allée des piétons. Aucune formalité coté USA.  Coté Mexique, passage très rapide.. Le plus délicat est de faire passer les vélos dans le portillon.
Autorisation de séjourner 180 jours. Coût 332 MXN par personne. Payable en Mxn ou USD.
Hébergements, commerces, ATM et changeurs de chaque coté.
Le contrôle des bagages se fait au hasard en pressant un bouton. Rouge on est contrôlé. Vert on passe.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 16,21 pesos Mexicain.
Meilleur taux obtenu : Du coté USA à San Diégo.
On trouve des ATM dans toutes les villes. Par contre, change limité et queue énorme devant les distributeurs. 
Le change en cash est plus rapide (souvent limité à 300 USD par jour.)
La banque Azteca propose de bons taux.
La Bancomer à des taux attractifs, mais ne change que aux clients de la banque.

Généralités :
Pas d offices de tourismes officielles. 
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'Espagnol d'Espagne est très utile, malgré quelques particularités Mexicaine.

Météo : A cette période. Saison sèche. Chaud dans la Baja. Tempéré le long du Pacifique.. Fraîche en montagne (Chiapas).

Trouver de l’eau : Attention. Eau non potable au Mexique.
Bouteilles capsulées dans les commerces. Ou mieux, les magasins qui filtrent l'eau. On les reconnait facilement avec leurs bouteilles de 20 litres (Carafon) en attente d'êtres remplies, leur enseigne "PURIFICADORA".  Environ 9 Mxn pour 20 litres.  Souvent offert.
Relation avec les autochtones : Excellente. Les Méxicains sont très accueillants, sympathique, curieux, généreux.
Accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre, dans la Baja. (désert).
Le long du Pacifique nous demandions dans les restaurants de bord de route, les pompiers, les églises, les croix rouge, ou dans n'importe quelle maison. Jamais refusé.
Dans le Chiapas, et les villages "indigènes". Plus dur. Refus par incompréhension.... 

Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre basique, avec ventilo, WC turc et Seau pour la douche) 100 Mxn à très correct (Grande chambre carrelée, clim WC, douche à l'occidentale) pour 250 Mxn.

On peut prendre des douches pour quelques pesos dans les stations services et les restaurants.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands.

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : tacos à 7 pesos, Quesadilla à 12 pesos, Poulet roti pour 20 pesos.
En Baja, les prix sont sensiblement plus chers que sur le continent.

Pain de mie 600 Gr : 28 Mxn, Confiture 500 Gr : 29 Mxn, Biscuits 350 : 28 Mxn, 3 litres de Coca : 24 Mxn. 1 litre de lait : 12 Mxn, 1 Kg de bananes : 9 Mxn. 12 oeufs : 20 Mxn

Etat des routes : Pour les grands axes. Goudronnées, et de qualité correcte. Pas de bande cyclables. Automobilistes respectueux des cyclistes. 
Pour les axes secondaires : Peu fréquentés. Souvent des pistes ou des dalles béton.
Autoroutes autorisées au vélo. Avantage : bande cyclable. Inconvénient Ennuyeuses. 
Baja Peu de traffic
Côte Pacifique : Traffic moyen.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Dans les grandes villes on peu trouver un vélociste qui a du matériel de qualité, mais faut chercher. Jamais trouvé un moyeu de pédalier externe. Difficile de trouver un démonte roue libre....  Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
Les habitants, les paysages, les cascades (Chiapas), le Pacifique, la Baja. 
Le "visa" de 6 mois

Ce que nous avons moins aimé :
Le manque de vélociste bien équipé...
Les "Topes" (ralentisseurs).
Les quelques chiens errants
Le manque de poubelles...










USA Côte Ouest




Nous y sommes restés : 86 Jours pour 4 113 Kms du 14 juillet au 7 octobre 2015.
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 1,2 USD (Nous avions acheté les USD à la bonne
période.... 1 euro pour 1,1 USD lors de notre passage)

Les formalités d'entrée : Ultra rapide par la route. Pas besoin d'ESTA ni de visa pour un séjour de 90 jours maximum. Coût 6 USD.
A savoir pour ceux qui comme nous ne le savaient pas. L'ESTA continue sa validité lorsque l'on est au Canada ou au Mexique. Par contre il est possible de demander une nouvelle validité de 90 jours quand l'on rentre par la route. (Au bon vouloir du douanier). Ce qui fait que nous avons pu passer 3 mois en Alaska, et 3 mois dans les autres états.  Si l'on sort par Tijuana. Coté Piéton, pas de contrôle sortie.... Donc pas de contrôle du temps resté.

Généralités : Les USA. Le pays le plus développé au monde. On y trouve de tout comme à la maison, pratiquement partout. Attention quand même, certains coins sont reculés et les villages peu achalandés.
Idéal pour le cyclo-campeur autonome et itinérant. Peu adapté pour faire des « boucles » à la journée.
Un pays cher si l’on est pas autonome. (Hôtels, restaurants…).
Les offices du tourisme sont très bien documentés (cartes, plans, guides…).

Météo : Sur la durée de notre séjour, nous avons eu 4 jours de pluie. Le reste du temps beau ciel bleu et températures agréables. Le long du pacifique il ne fait jamais très chaud.

La Wildlife : On rencontre fréquemment des cerfs, des écureuils et des ratons laveurs. Ces derniers sont un peu une plaie. Ils sont peu craintifs et très envahissant, surtout quand ils ont faim. Difficile de les faire fuir très longtemps et peuvent vous "voler" une sacoche si elle contient de la nourriture.

Bivouac : Facile à pratiquer partout,

Trouver de l’eau : Aucun problème. Potable partout.

Relation avec les autochtones : Facile. Les Américains sont bavards et accueillants. Ne pas hésiter à demander pour planter sa tente. On vous refusera très rarement.

Campings : Les campings privés (RV parcs) et les campings d'état.
L'un comme l'autre ne sont pas adaptés au cyclos mais plus aux énormes Camping cars.
Les campings privés annoncent un tarif à l'emplacement. (20-45 USD) avec parfois la douche en plus.
Les campings d'état sont sommaires. Ils ne comportent souvent que des toilettes. rarement des douches. Le gros avantage est qu'il y en à très souvent, qu'ils ont presque tous un emplacement Hiker-Biker qui vous assure de trouver une place, même lorsqu'ils annoncent complet. Le tarif est de 5 à 10 USD par vélo. Un endroit idéal pour rencontrer les autres cyclos et échanger sur les itinéraires.

Pour la nourriture, il y a des super-marchés dans toutes les villes, avec des horaires très larges (Souvent 24/24 et 7/7). Les tarifs sont à peu près les mêmes que chez nous. Par contre les prix annoncés sont hors Taxes. La taxe est différente selon chaque état. Pas de taxes en Orégon.

Etat des routes : En excellent état. Quelques routes à vélos bien pratiques dans les grandes villes comme Los Angeles.
Par contre la circulation y est intensive. Et les Américains ont tous des grosses voitures ou de gros camping cars.. Globalement respectueux des cyclos mais les routes n'ont pas d'accotements.
Pour la côte Ouest qui longe le Pacifique, il existe des guides et cartes dédiées à cet itinéraire qui permet d'éviter en partie les grands axes.

Equipement vélo et camping. Des vélocistes et marchands de matériel technique  (Gaz, réchauds, tentes…) bien achalandés un peu partout. REI. Le magasin de référence pour tout ce qui est outdoor. (L'équivalent du Vieux Campeur).

Internet : Des connections WIFI dans les offices de tourisme, les bibliothèques....

Ce que nous avons aimé :
Les paysages, la faune, les gens, la facilité de bivouaquer, le climat. la facilité de s'approvisionner

Ce que nous avons moins aimé :
Les routes peu adaptées aux cyclisme. Les véhicules trop bruyants et trop nombreux.






CANADA


Le pays s'étend de l'Atlantique au Pacifique. Nous n'avons traversé que 3 états. (Yukon, Colombie Britannique et Alberta.)

Nous y sommes restés : 52 Jours pour 4 102 Kms du 23 mai au 13 juillet 2015

Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 1,4 CAD

Les formalités d'entrée : Un passeport. Pas de visa. Autorisation de séjour de 90 jours 
Nous y sommes arrivés par l'Alaska Highway. Poste frontière de Beaver Creek. 
Pas de douane de sorite coté USA. Donc pas de tampon de sortie.
Un poste frontière pour l'entrée au Canada. La aussi, as de tampon apposé !?  Du coup, nous en avons demandé un à Whitehorse...

Généralités : C'est un pays de l'Amérique du nord...Donc très développé, on y trouve de tout comme à la maison, mais uniquement dans les grandes villes (Whitehorse (Yukon), Prince George, Castlegar,Nelson, Penticton, Osoyoos (BC), JAsper, Banff (Alberta)). ....En dehors. Pas grand chose.
Idéal pour le cyclo-campeur autonome et itinérant. Pas adapté pour faire des « boucles » à la journée.
Un pays cher si l’on est pas autonome. (Hôtels, campings, restaurants…).
Les offices du tourisme sont très bien documentés (cartes, plans, guides…).
Météo : Un mois de juin assez mitigé. Pluies fréquentes.  Frais dans le Yukon (Mai), Agréable dans le nord de la BC (Watson Lake - Prince George -Jasper). Caniculaire dans le sud de la BC (Nelson, Penticton)
Les insectes volants et piquants : Quelques rares mais terribles journées avec les moustiques et les mouches noires. 

La Wildlife : On rencontre fréquemment des cerfs, des mooses... Par contre le problème pour les cyclos reste les Ours que l'on croise quotidiennement sur la Cassiar Hwy. La 37 (Watson Lake - Kitwanga) et dans les parcs nationaux. Rien à craindre en journée. ils restent sur le bord de la route à manger. (Il faut quand même respecter une distance de sécurité d'environ 300 mètres pour ne pas les déranger). La nuit est plus problématique par le fait de la nourriture transportée. L'Ours à un très bon odorat.... Il faut donc éloigner sa nourriture de la tente. (Environ 50 mètres) et essayer de stocker dans un lieu inaccessible.  (Pas facile du tout). Nous laissions les 2 sacoches "bouffe" sur les vélos en croisant les doigts.

Bivouac : Facile à pratiquer partout, avec des coins idylliques très fréquents. (Nous avons planté la tente une seule fois dans un camping)

Trouver de l’eau : Aucun problème. Stations services, ruisseaux, lacs….

Relation avec les autochtones : Un seul accueil spontané. Mais si l'on demande un service (Eau, endroit pour dormir... ) les personnes se feront un plaisir de vous aider.

Campings : Les campings privés (RV parcs) et les campings d'état.
L'un comme l'autre ne sont pas adaptés pour le cyclo mais plus pour les énormes Camping cars.
Les campings privés annoncent un tarif à l'emplacement. (20 - 30 CAD).
Les campings d'état sont sommaires. Ils ne comportent souvent que des toilettes. Pas de douches et un petit robinet d'eau quand il y en à un. Le tarif est affiché (18 - 20 CAD) Basé sur l'honnêteté des visiteurs.

Pour la nourriture, il y a des super-marchés dans toutes les grandes villes avec des horaires très larges (8 heures - 22 heures et 7/7). Dans les villes moyennes et petites il y à des "Général Store", où l'on trouve de tout pour le quotidien. Souvent des petites échoppes accolée à la station service. Les tarifs sont élevés.
Ex : Pain de 635 Gr : 2,5 CAD  4 Yahourts 170 Gr : 3,00 CAD  Confiture 500 Gr : 3,95 CAD Boite de Thon  1,5 CAD), Jambon 500 Gr : 6,5 CAD,  Spaghetti 1 kg : 3,5 CAD, Cookies 500 Gr : 5,00 CAD
C'est une moyenne, car grosses différences dans les lieux touristiques ou isolés et les villes.
Il faut faire des provisions car de grandes distances entre 2 ravitaillements. Bien se renseigner auprès des centres d'information sur l'existence d'une épicerie et son ouverture. Par exemple, sur la Cassiar Hwy, rien sur 400 km. Idem sur la transcanadienne.
Etat des routes : En excellent état, avec une sur-largeur bien pratique pour les vélos. Certaines routes secondaires sont en terre battue assez poussiéreuses et en "tôle ondulée".(Nombreuses fermées avant l'été).
Equipement vélo et camping. Des vélocistes et marchands de matériel technique  (Gaz, réchauds, tentes…) bien achalandés dans toutes les grandes villes. Rien ailleurs.
Internet : Des connections WIFI dans les offices de tourisme, les médiathèques, les campings. Pas de cyber-cafés.

Ce que nous avons aimé :
Pratiquement tout. Les paysages, la faune, les routes, le respect des cyclistes, les gens, la facilité de bivouaquer. Mention spéciale pour :  la Cassiar Hwy, la route Jasper-banff (Parcs nationaux) et la KWR (Kettle Valley Railway).

Ce que nous avons moins aimé :
Le coup de la vie relativement élevé, la présence des ours la nuit, les pluies du mois de juin.




 

ALASKA


Bien que l'Alaska soit le 4ème état des USA, nous allons le traiter comme un pays à part entière, car il reste différent du reste des US.

Nous y sommes restés : 22 Jours pour 1 339 Kms du 1er mai au 22 mai 2015.
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 1,5 USD (Nous avions acheté les USD à la bonne période.... 1 euro pour 1,1 USD lors de notre passage)

Les formalités d'entrée : Longue par avion (3 heures à Seattle). Nous avions fait une demande d'ESTA pou 90 jours. Le mieux si vous voulez traverser les USA du nord au Sud est de faire une demande de visa (6 mois). Car la durée de l'ESTA continue pendant son séjour au Canada.... Donc possibilité d'être refoulé à la frontière lors du deuxième passage plus au sud.

Généralités : L'Alaska, 49ème état des USA est un pays  très développé, on y trouve de tout comme à la maison, mais uniquement dans les grandes villes.... (Anchorage et Fairbanks)
Idéal pour le cyclo-campeur autonome et itinérant. Pas adapté pour faire des « boucles » à la journée.
Un pays cher si l’on est pas autonome. (Hôtels, restaurants…).
Les offices du tourisme sont très bien documentés (cartes, plans, guides…).

Météo : Sur la durée de notre séjour, nous avons eu 2 jours de pluie et de froid. Le reste du temps beau ciel bleu et températures agréables.

Les insectes volants et piquants : En mai ce n'est pas encore la grosse saison des moustiques. Subsistent ceux de l'an passé. Lents (donc facile à chasser) et peu nombreux.

La Wildlife : On rencontre fréquemment des cerfs, des mooses... Par contre le problème pour les cyclos rest les Ours que l'on croise de temps en temps. Rien à craindre en journée. ils restent sur le bord de la route à manger. (Il faut quand même respecter une distance de sécurité d'environ 300 mètres pour ne pas les déranger). La nuit est plus problématique par le fait de la nourriture transportée. L'Ours à un très bon odorat.... Il faut donc éloigner sa nourriture de la tente. (Environ 50 mètres) et essayer de stocker dans un lieu inaccessible.  (Pas facile du tout). Nous laissions les 2 sacoches "bouffe" sur les vélos en croisant les doigts.

Bivouac : Facile à pratiquer partout, avec des coins idylliques très fréquents.

Trouver de l’eau : Aucun problème. Stations services, aires de pique nique, ruisseaux, lacs….

Relation avec les autochtones : Froide en apparence. Mais si l'on demande un service (Eau, endroit pour dormir... ) les personnes se feront un plaisir de vous aider.

Campings : Les campings privés (RV parcs) et les campings d'état.
L'un comme l'autre ne sont pas adaptés au cyclos mais plus aux énormes Camping cars.
Les campings privés annoncent un tarif à l'emplacement. (15-20 USD) avec parfois la douche en plus.
Les campings d'état sont sommaires. Ils ne comportent souvent que des toilettes. Pas de douches et un petit robinet d'eau quand il y en à un. Le tarif est affiché (12-14 USD) Basé sur l'honnêteté des visiteurs.
Au mois de mai, peu de campings ouverts.....Mais possibilité de s'installer comme en bivouac.

Pour la nourriture, il y a des super-marchés dans toutes les grandes villes (Anchorage, Fairbanks) avec des horaires très larges (Souvent 24/24 et 7/7). Dans les villes moyennes et petites il y à des "Général Store", où l'on trouve de tout pour le quotidien. Souvent des petites échoppes accolée à la station service. Les tarifs sont élevés.
Ex : Pain de 635 Gr : 2,5 USD  1 Yahourt 170 Gr : 1,2 USD  Confiture 500 Gr :4,6 USD Boite de Thon  0,82 USD)   Saucisson : 8,99 USD Jambon 500 Gr : 4,29 USD,  Spaghetti 1 kg : 1,80 USD, Cookies 500 Gr : 4,80 USD
Il faut faire des provisions car de grandes distances entre 2 ravitaillements. Bien se renseigner auprès des centres d'information sur l'existence d'une épicerie et son ouverture.

Etat des routes : En excellent état. Certaines routes secondaires sonten terre battue assez poussiéreuses (Nombreuses fermées avant l'été). Il existe de nombreuses « routes à vélo » dans les villes. 

Equipement vélo et camping. Des vélocistes et marchands de matériel technique  (Gaz, réchauds, tentes…) bien achalandés dans toutes les 2 grandes villes. Rien ailleurs.

Internet : Des connections WIFI dans les offices de tourisme, les campings. Pas de cyber-cafés.

Ce que nous avons aimé :
Pratiquement tout. Les paysages, la faune, les routes, le respect des cyclistes, les gens, la facilité de bivouaquer, le climat, les journées de 24 heures.

Ce que nous avons moins aimé :
Le fait d'être trop tôt en saison. Routes encore fermées par la neige, Dalton Highway, Dénali Park, Top of the world Highway. Les campings et certains villages non encore ouverts....
La présence des ours la nuit





Indonésie

Nous y sommes restés : 53 Jours pour 1 797 Kms du 09 mars au 30 avril 2015.

Passage de la frontière
Nous avons franchi la frontière Singapour - Indonésie par ferry à Sékupang sur l'île de Batam.
Petit poste frontière. Aucune queue et passage très rapide.
Au départ de Singapore, très nombreux ferries. Il est intéressant de réserver par internet, car on y obtient des tarifs inferieurs à ceux des guichets.  
Visa de 60 jours demandé à Bangkok (50 USD, payables en USD uniquement)
Hébergements, commerces, ATM et changeurs de chaque coté.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 14 000 Roupiah Indonésienne.
On trouve des ATM dans toutes les villes. Il est prélevé une infime commission par la banque Indonésienne
Des bureaux de change dans toutes les villes touristiques. Attention aux arnaques. Bien recompter ses billets et les garder en main. En aucun cas les redonner au changeur pour qu'il les recompte, car par un tour de passe passe, il en fait disparaitre. (Arnaque courante sur Bali).

Généralités : Pays habitué au tourisme. Les agences de voyage proposent transport, tours….Elles sont souvent situées dans les auberges des lieux touristiques.
Rares offices de tourismes officielles. Pas utiles car peu documentés.
L’Anglais y est très approximatif, voire inexistant, même chez les scolaires.
L'indonésien à la même langue que la Malaysie. Nous avions un dictionnaire Anglais-Indonésien. (peu servi).

Météo : A cette période. Saison des pluies. Pluie quotidienne en milieu d'après midi jusqu'au soir. Humidité et chaleur.

Trouver de l’eau : Non potable, mais on en trouve partout. Station services, Mosquées, temples, commerces….
Bouteilles capsulées dans les commerces. Ou mieux, les magasins qui filtrent l'eau. On les reconnait facilement avec leurs bouteilles de 20 litres en attente d'êtres remplies, leur enseigne "AIR PURIFIED".  Environ 1 000 IDR (0,07 €) pour 1,5 litres.  Souvent offert.

Relation avec les autochtones : Excellente sur Java.. Les Indonésiens sont accueillants, souriants et prêts à aider.
Accueil spontané.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre, mais avons essayé de l’éviter du fait des températures qui empêchent de dormir.
Hôtels : Dans toutes les villes. Chambre standard, avec ventilo, WC turc et Seau pour la douche) 80 000 IDR (5,80 €)) à très correct (Grande chambre carrelée, clim WC, douche à l'occidentale et PDJ) 150 000 IDR (10, 80 €)
Autres : Nous avons dormi dans les mosquées ou les temples.. Il y en à partout. Malgré notre différence de religion, nous avons toujours été bien accueilli. On y trouve de l'eau,  et de quoi prendre une douche.
Les écoles. On dort dans les classes. Il y à de quoi prendre une douche. Inconvénient, les cours commencent à 7 heures du matin. Avantage, on peut s'arrêter de bonne heure. Pas de classe l'après-midi.

On peut prendre des douches quasiment partout. Stations services, bars, restaurants....

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands.

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Repas classique (Riz, poulet, verdure) : 8 000 IDR  (0,57 €) (souvent le riz est à volonté). Beaucoup de restos se font en « self service »
Les classiques : Nasi Goreng, Nasi Campur, Gado Gado : 10 000 IDR (0,71 IDR).

Sur Bali et Lombok, les prix sont du "grand n'importe quoi". Il faut négocier ferme pour obtenir des tarifs presque corrects...et faire attention à sa note...

Pain de mie 10 tranches: 9 000 IDR  (0,65 €) Bouteille d’eau (1,5 litres) : 3 000 IDR  (0,21 €), Confiture 450 Gr : 14 000 IDR (1 €), Biscuits 130 Gr : 4 500 IDR  (0,33 €), 1,5 litre de Coca : 10 000  IDR (0,71 €). 
Fruits exotiques : Marché du bord de route. 1 kg de Mangoustan 15 000 IDR (1,07 €) 1 kg de Ramboutan 10 000 IDR (0,71 €)

Etat des routes : Goudronnées, mais de qualité très variable. Beaucoup de trous. Circulation assez anarchique. Mobylettes en surnombre, omniprésentes, dans tous les sens, (En travers, à contresens, en 8ème position...) Assez fatiguant à gérer. Globalement la circulation est très dense sur les axes principaux (quasi suicidaire à vélo). Plus calme, sur les petites routes.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Dans les grandes villes on peu trouver un vélociste qui a du bon matériel, mais faut chercher (A Bali Kuta, 3 très bons vélocistes).  Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de qualité variable dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
Java pour les habitants, les sites de Borobudur et Prambanan (Yogyakarta). le Mont Ijen (Porteurs de souffre). Les petites routes de montagne, les rizières.
Bali et Lombok pour les plages et le snorkeling (en faisant abstraction de la pollution et des vendeurs omniprésents).

Ce que nous avons moins aimé :

Bali et Lombok pour ces habitants filous. La saleté de certaines plages. Le tourisme de très grande masse.
La chaleur et l'humidité qui n'épargne pas les appareils photos et autres électronique.












Malaisie

Nous y sommes restés : 19 Jours pour 1 221 Kms du 13 février au 03 mars 2015.

Passage de la frontière.
Nous avons franchi la frontière Thaïlande – Malaisie à : Wang Prachan.
Petit poste frontière. Aucune queue et passage très rapide.  Tampon pour 90 jours. Attention bien vérifier la durée. Patricia a eue 90 jours. J’ai eu 30 jours. Le douanier s’est trompé de tampon. Rectification immédiate faite au stylo.
Pas de bureau de change ni d’ATM ni hébergement de chaque coté. Il faut aller à la ville la plus proche.  Coté Thailande : Satun    Coté Malaisie : Kangar

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 3,54 Ringgit Malais.
On trouve des ATM dans toutes les villes. Il est prélevé une infime commission par la banque Malaise.
Des bureaux de change dans toutes les villes touristiques.

Généralités : Pays habitué au tourisme. Les agences de voyage proposent transport, tours….Elles sont souvent situées dans les auberges des lieux touristiques.
Les offices du tourisme proposent des cartes, des guides par région et des connections internet gratuites.
L’Anglais y est très bien parlé par tous.

Météo : A cette période. Soleil et chaleur. Régulièrement des orages de mousson le soir vers 17 heures.

Trouver de l’eau : On en trouve partout. Station services, Mosquées, commerces….
Nous l’avons bue quand elle paraissait claire. Filtrée quand elle avait une drôle d’odeur.
Nous y ajoutions des sachets de thé, car (trop) rapidement très chaude.

Relation avec les autochtones : Excellente. Les Malaisiens sont accueillants, souriants et prêts à aider.
Pas d’accueil spontané, mais jamais refusé en cas de demande.

Pour l’hébergement.

Bivouac : Nous l’avons pratiqué sans encombre, mais avons essayé de l’éviter du fait des températures qui empêchent de dormir. La température ne baisse pas la nuit et le vent s’arrête.
Hôtels : Dans toutes les villes moyennes. De spartiate (Chambre sans fenêtre, avec ventilo et toilettes communes) 30 Myr (8,5 USD) à très correct (Chambre carrelée avec fenêtre, clim et bain privé) 60 Myr (17 USD)

Autres : Nous avons dormi dans les mosquées. Il y en à partout. Malgré notre différence de religion, nous avons toujours été bien accueilli. Il faut demander (voire parlementer avec) à l’Imam. Il y à toujours des toilettes, de l’eau et une salle qui sert à tout. Cela nous à permis de bonnes rencontres, de bons repas…et de dormir sous un ventilo.
Les postes de police, de gardiens de forêts… En dehors des villes. Il y à généralement une pièce à offrir avec un ventilo. En fait c’est le ventilo que nous recherchons. Peu importe le lieu.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. De l’épicerie au super marché. Peu de différences de prix entre les petits et les grands.

Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.

Ex : Repas classique (Riz, poulet, verdure) : 5 Myr  (1,50 USD) (souvent le riz est à volonté). Beaucoup de restos se font en « self service »

Des fast-food de marques Américaines dans toutes les villes et villages.

Pain de mie 660 Gr : 3,35 Myr (0,95 USD), Bouteille d’eau (1 litre) : 0,90 Myr (0,25 USD), Confiture 400 Gr : 4,50 Myr (1,27 USD), Biscuits 90 Gr : 2,20 Myr (0,62), 1,5 litre de Coca : 3 myr (0,85 USD)

Etat des routes : Toutes les routes sont en bon état. Beaucoup de voitures, mais les automobilistes sont réglos avec les vélos.

Equipement vélo et camping. Pas pour du bon matériel. Dans les grandes villes on peu trouver un vélociste qui a du bon matériel, mais faut chercher… Rien vu pour le camping.

Internet : Des connections WIFI de bonne qualité dans toutes les auberges, les restaurants, les cafés.

Ce que nous avons aimé :
La gentillesse des Malaisiens. George Town, Melaka. Les rares petites routes.

Ce que nous avons moins aimé :

La monotonie des routes. Le grand nombre de voitures. Les champs de Palmiers à huile à perte de vue.




 


THAILANDE


Nous y sommes restés : 28 Jours pour 754 Km du 32 décembre au 29 décembre 2014 et du 24 janvier au 12 février 2015

Demande de visa.
Pas besoin de visa pour la Thailande. Un tampon pour une durée de 30 jours aux frontières aériennes ou terrestres.

Passage de la frontière.
Nous avons franchi la frontière entre Myawaddy (Birmanie) et Mae Sot (Thaïlande). Passage très rapide. Change et hôtels des 2 cotés.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 40 Baht
On trouve des ATM dans toutes les villes. Il est prélevé une commission par la banque Thailandaise.
Le change en numéraire se fait dans toutes les devises.. Taux plus intéressant pour les grosses coupures.

Généralités : Le tourisme y est hyper-développé.  Ce qui rend cette destination très facile à voyager. 
La plupart des hôtels proposent des réservations de train, d'avion, de bateau, de bus et autres circuits touristiques.
Le marchandage est de mise en Thaïlande, mais rapide. On arrive vite au prix désiré. 

Météo : A cette période. Soleil et chaleur.

Trouver de l’eau : L’eau n’est pas potable. L’eau se trouve chez les commerçants, dans les temples, les stations services. On trouve de l’eau capsulée partout.

Relation avec les autochtones : Excellente. Les Thailandais sont chaleureux, et souriants. L'Anglais est assez répandu.

Pour l’hébergement.
Bivouac : Nous l'avons pratiqué sans difficulté. Mais la chaleur de la nuit rend le camping difficile.
Hôtels : On en trouve régulièrement.. Les prix sont peu élevés et permettent de passer une nuit au frais (Ventilo).  Chambre double entre 7 et 15 euros.

Pour la nourriture, Il y à des commerces de proximité partout et des super marchés dansles villes moyennes et grandes.
Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.
Ex :Plat de riz ou de nouilles avec poulet et légumes : 40 Baht (1 euro).

Pastèque : 15 Baht (0,35 Euro)  Lait concentré sucré (200 Gr) : 25 Baht (0,62 Euro) Gateaux 90 Gr : 10 Baht : (0,25 euro), Bouteille d’eau (1 litre) : 4 Baht (0,10 euro)

Etat des routes : En bon état pour toutes les routes.

Equipement vélo et camping. Bangkok. De bons magasins de vélos. Dans les villes moyennes on trouve des revendeurs pouvant avoir du matériel de bonne qualité. Mais il vaut mieux faire la révision à Bangkok.

Internet : Des connections WIFI dans les auberges, les restaurants...

Transport des vélos : Le train, bien que peu rapide reste notre moyen préféré, car il dispose d'un wagon marchandise.
Le bus. les soutes sont petites. Démontage partiel du vélo.


Ce que nous avons aimé :
La destination vacances. Les plages, La vie pas trop chère....

Ce que nous avons moins aimé :

Les serpents un peu trop présent à notre goût.




 

BIRMANIE


Nous y sommes restés : 25 Jours pour 1 425 Km du 30 décembre 2014 au 23 janvier 2015.

Demande de visa.
Nous avons fait la demande à Bangkok. 810 Baths (20 Euros) Pour une durée de 28 jours. Récupérable 2 jours ouvrables après le dépôt. 
(Une demande de prolongation peut se faire à Yangoon). 

Passage de la frontière.
Nous avons franchi la frontière entre Mae Sot (Thaïlande) et Myawaddy (Birmanie).
Impressionnante queue mais guichet (N° 4) pour les étrangers vide de monde.

Argent et change
Taux de change moyen obtenu : 1 USD pour 1 028 Kyats
On trouve des ATM dans toutes les villes. Il est prélevé une commission par la banque Birmane.
Le change en numéraire se fait essentiellement en dollar US. Taux plus intéressant pour les coupures de 100. Attention. Les dollars doivent êtres récent et neufs. La moindre pliure, écriture ou trou d’agrafe sera refusé.
Le taux de change des banques est aussi intéressant que celui du changeur de rue, avec la sécurité en plus.
La plupart des hôtels et frais de visites, peuvent se payer dans les deux monnaies au taux de change de 1 USD pour 1000 Kyats.

Généralités : La Birmanie est un pays pauvre. Le tourisme y est encore balbutiant et les normes de sécurité et d’hygiène, inexistantes. Nombreuses coupures de courant.
Les offices du tourisme n’existent pas. Très peu de renseignements sur place.
Très peu de personnes parlent l’anglais ou une autre langue que le Birman.

Météo : A cette période. Soleil et chaleur. Nuits (très) fraîches en montagne.

Trouver de l’eau : L’eau n’est pas potable. Les rivières sont très sales. (égouts à ciel ouvert). L’eau se trouve chez les commerçants, dans les temples ou au bord des routes dans des puits ou cruches. On trouve de l’eau capsulée partout et de nombreux commerces ont des bonbonnes de 20 litres (ou plus) et n’hésitent pas à remplir les bidons quand on en fait la demande.

Relation avec les autochtones : Excellente. Les Birmans sont chaleureux, généreux et curieux, (mais pas envahissants). Content de voir du tourisme dans leur pays.
Difficile de dormir chez l’habitant, car encore interdit. Par contre on peut demander à camper dans le terrain à coté de la maison.

Pour l’hébergement.
Bivouac : Officiellement interdit. Nous l’avons pratiqué sans encombre.
Hôtels : Surestimés par rapport à la qualité. De 7 000 Kyats (6,80 SD) (Lits dans un placard) à 20 000 Kyats (19,45 USD) (Lits avec ventilateur et douche dans WC).
Grand choix d’hébergements dans les lieux touristiques (de minable à standing).
Nous n’avons jamais réservé un hébergement et avons toujours trouvé dans la gamme « budget ».
En dehors des lieux touristiques, peu d’hôtels, ou alors interdits aux étrangers par faute d’agréments. (Impossible de négocier, même pour une nuit. D’ou les bivouacs sous tente). Sinon, des hôtels en dehors de nos moyens.
Les temples : Sont ouverts aux pèlerins et aux gens de passages. Une bonne expérience et l’avantage d’être très nombreux.

Pour la nourriture, Il y à des commerces partout. Par contre peu de choix et de variété.
Les restaurants locaux sont plus avantageux que l’auto gestion.
Ex : Repas classique (Riz, poulet, verdure, soupe). 1 5OO Kyats (1,46 USD) (souvent le riz est à volonté et le thermos de thé également.
Pastèque : 1 000 Kyats (0,97 USD) 10 Bananes : 400 Kyats (0,39 USD) Lait concentré sucré (200 Gr) : 700 Kyats (0,68 USD) Brioche (500 Gr) : 650 Kyats (0,63 USD), Bouteille d’eau (1 litre) : 300 kyats (0,29 USD)

Etat des routes : Mauvais. Les axes principaux, grandes routes et routes secondaires, sont goudronnés. De pas trop mal à très mauvais.
Les routes secondaires et tertiaires restent des pistes de sables ou de latérite.
Nombreux contrôles de Police dans les zones frontalières. Certaines régions demandent un permis spécial pour voyager. (que l’on peut obtenir contre rémunération à Yangoon). Par exemple si l’on va vers l’Inde (100 USD).

Equipement vélo et camping. Inexistant. Quelques petits réparateurs au bord des routes ou dans les villes. Pour les crevaisons ou les petites pièces.
Par contre, comme tous les pays en voie de développement, ils sont ingénieux et auront le don de vous dépanner avec rien.
Prévoir quand même du matériel résistant.

Internet : Des connections WIFI dans la plupart des auberges, mais de très mauvaise qualité.

Ce que nous avons aimé :
La gentillesse des Birmans,  Bagan, le Lac Inlé, les villages de montagne, le train.

Ce que nous avons moins aimé :

La saleté des rivières, la poussière, les hébergements interdits aux étrangers, les taxes d’entrée pour les lieux touristiques.


 


JAPON 


Nous y sommes restés 35 jours pour 1 450 km du 17 novembre au 21 décembre 2014

Passage de la frontière : Nous sommes arrivés par la frontière Maritime de Fukuoka
Durée de passage : 1/4 d'heure. 2 papiers à remplir et un tampon sur le passeport. Les vélos passent au rayons  X avec les bagages et les pneus sont désinfectés....
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 142 JPY (commission bancaire incluse).
Attention seuls les DAB "Global" acceptent les CB étrangères. Dans les "Japan Post" et certains magasins de proximités  (Style 7 Eleven) Attention aux horaires d'ouvertures....
La CB est très peu utilisée dans les commerces. Le Japon est le pays du cash...
Généralités : Au Japon  on parle... Japonais. Peu de personnes parlent Anglais. Même les jeunes générations. 
Nous n'avions pas de dictionnaire Franco-Japonais, mais utile d'en avoir un.
Un peu l'impression d'être dans un monde parallèle.. On à pas la même façon de raisonner. Donc quelques difficultés à se comprendre parfois.
Courant en 110 v. Adaptateur nécessaire. (75 Cts) ou demander aux auberges qui en ont à disposition.
La vie est chère. Mais en faisant bien attention aux produits et en pratiquant le camping on s'en sort pour moins de 20 euros par jour.
Attention, tous les prix affichés sont HT. Donc il faut rajouter la TVA (+ 8%)
Météo : En novembre-décembre, le ciel est bleu limpide. Les journées sont fraîches, mais les nuits glaciales.
jours de pluie.
Hébergements :
Bivouac : Pas très facile. Beaucoup de ville. Bivouac urbain réalisable dans les parcs et jardins, mais planter tard et démonter tôt.. Dans les campagnes, beaucoup de cultures.
Hôtels : Pas faciles à repérer, malgré la grande diversité. Love Hôtels, Guest House, Business hôtels, Ryokan.... On peut également dormir dans les Onsen (SPA), certaines librairies, certains karaoké et les hôtels capsules (grandes villes et proches des gares). En général, l'hébergement en dur est assez cher (dortoir 40 - 50 euros pour 2).
Trouver de l’eau : L'eau est potable. On en trouve partout.Tous les magasins ont des toilettes, les stations services...
Relation avec les autochtones : Compliquée du fait du barrage de la langue et d'une culture très différente. Toujours beaucoup de courtoisie. Une fois le service demandé, un devoir de vous aider...
Campings : Nous n'avons pas essayé, même s'il en existe (période hivernale- sûrement fermés).
Pour la nourriture, il y a des magasins de proximité absolument partout (Au, Lawson - Seven Eleven....), ouverts touts les jours et souvent 24/24. Dans les villes, des super-marchés- ouverts tous les jours jusqu'à tard dans la nuit
Ex (prix TTC) : Pain de mie de 340 Gr : 85 JPY (0,6 €)  4 Yahourts (75 Gr) : 140 JPY (1 €)  Confiture 850 Gr : 370 JPY (2,6 €)  Mandarines 500 Gr : 150 JPY (1,05 €)  4 Bananes :  98 JPY (0,70 € ) Spaghetti 500 Gr : 90 JPY (0,63 €). 7 tranches de fromage Gouda : 164 JPY ( 1,15 €)
Les fast food. Grandes marques américaines ou chaines locales, il y en à partout (en ville un tous les 500 mètres). Les restaurants. (entre 2 fat food). On ne risque pas de mourir de faim au Japon....;
Routes.
Excellent état. Que se soient les routes principales, secondaires ou tertiaires. Bon asphalte partout.
Beaucoup de grands axes,mais avec des bas cotés pour les vélos ou des trottoirs.
Au Japon le vélo roule sur les trottoirs.
Pas vraiment un pays adapté au vélo.
On trouve en montagne de petites routes étroites et sinueuses. En plaine uniquement des routes urbaines ou à grandes circulation.
Equipement vélo, camping et divers. Des magasins de vélos un peu partout avec du bon matériel. (On est au pays de Shimano...) Des magasins de sports bien achalandés avec toutes les marques connues un peu partout.
Les magasins à 108 yens. (0,76 euros) Pour les bricoles dont l'adaptateur électirque, les piles, le scotch...et certains produits alimentaires.
Office de tourisme : Dans toutes les villes. Assez bien documentés. Guides, cartes...Mais souvent du personnel ne parlant que le Japonais.
Internet et Wifi : C'est un peu le problème. On ne trouve pas de Wifi partout au Japon. Même "Mac Do" n'à pas de Wifi gratuite. "Starbucks Café" par contre à une wifi gratuite. Quelques rares Offices du tourisme. Par contre les auberges en proposent souvent gratuitement.
Quitter le Japon en avion pour la Thaïlande.
Nous avons trouvé Air Asia.com sur internet. Compagnie low cost (donc tous les services sont payants : repas, bagages, impression du boarding pass...On paie même pour payer...), mais tarifs attractifs et possibilité de choisir le poids de ses bagages.. Pour chacun de nous : 30 kg (vélo) + 20 Kg (sacoches) + 7 kilos (officiellement) pour le sac de cabine.
Vélos emballés dans des cartons (récupérés à Tokyo).
Service nickel. Pour les passagers et les vélos. (un peu à l'étroit quand même en classe éco).
Durée du vol : 6h30
Tarif : 310 euros par personne avec les bagages.

Ce que nous avons aimé : 
La beauté des paysages en automne,
La très grande sécurité (Le fait de laisser son vélo sans surveillance avec tout dessus, de pouvoir camper dans les villes)
La courtoisie des habitants, qui semblent ne pas connaitre la colère.
Les petites routes de montagne.
Les magasins "Conbinis" absolument partout.
Les toilettes. (Chauffantes et lavantes...)

Ce que nous avons moins aimé : 
La densité des villes et les routes urbaines peu adaptées au vélo et l'obligation de rouler sur les trottoirs.
Les emplacements bivouac difficiles à trouver.
La vie chère.
Les produits en petite quantité (1/2 pomme, 50 Gr de Cacahuètes, Yahourts de 72 Gr, Pain de 3 tranches....)
La difficulté à communiquer.
Ne pas avoir visité le musée Shimano d'Osaka.


 

COREE du SUD

Nous y sommes restés 39 jours pour 1 600 km du 09 octobre au 16 novembre 2014

Passage de la frontière : Nous sommes arrivés par la frontière Maritime de Donghae
Durée de passage : 1/4 d'heure. 2 papiers à remplir et un tampon sur le passeport. Les vélos passent au rayons avec les bagages.
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 1320 KRW (commission bancaire incluse).
DAB dans toutes les villes et villages. La KB semble la plus interessante.
Généralités : En Corée on parle... Coréen. Peu de personnes parlent Anglais. Les moins de 30 ans ont quelques notions. Mais, la gentillesse et l'effort fait pour comprendre fait que tout se passe bien.
Nous n'avions pas de dictionnaire Franco-Coréen.
C'est une excellente destination pour un premier voyage à vélo, ou avec des enfants.
Météo : En octobre-novembre, le ciel est bleu limpide. La journée agréable mais les nuits fraiches.
4 jours de pluie.
Hébergements :
Bivouac : Très facile à pratiquer partout. Ville (parcs), campagnes, champs et forêts.
Hôtels : Partout. les motel sont les moins chers. Chambre double : 20 000 KWR (15 Euros)
Trouver de l’eau : L'eau est potable. On en trouve partout. Tous les magasins sont également équipés de "fontaines" à eau. (chaudes et froides) et laissent volontier remplir gourdes et thermos.
Relation avec les autochtones : Excellente, malgré la barrière de la langue. Toujours prêts à rendre service, à aider pour trouver une adresse. Invitations spontanées très fréquentes.
Campings : Il y en à le long des côtes, prêts des parcs nationaux. Beaucoup étaient fermés à cette période. Ceux de Séoul sont ouvert toute l'année, (souvent complets le WE).
Pour la nourriture, il y a des magasins de proximité absolument partout (GS 25 - C&U - Seven Eleven), ouverts touts les jours. Dans les capitales, des super-marchés comme nous pouvons les connaitre en France (E-mart, Lotte Mart...) Horaires 10 h - 24 h tous les jours.
Ex : Pain de 800 Gr : 2 300 KWR (1,74 €)  8 Yahourts : 3 900 KWR (2,95 €)  Confiture 1 KG 5 180 KWR (3,92 €)  600 Gr de paté : 10 000 KWR (7,58 € ) Mandarines 1 KG : 3 000 KWR (2,27 €)  7 Bananes :  2 500 KWR (1,89 € ) Spaghetti 1 kg : 3 400 KWR (2,58 €). 600 Gr de fromage : 4 700 KWR ( 3,56 €)
Restaurants de rues très abordables. Plat entre 6000 KWR (4,55 €) et 10 000 KWR ( 7,58 €)
Routes.
Excellent état. Que se soient les routes principales, secondaires ou tertiaires. Bon asphalte partout.
Beaucoup de routes à 4 voies empruntés par les automobilistes, laissant les petites routes peu fréquentées.
Un très bon réseau de pistes cyclables (9000 km) qui permet de, pratiquement, faire le tour du pays sans croiser une voiture. Un système de passeport avec des tampons aux points stratégiques permet de valider son itinéraire et d'obtenir une médaille...
Equipement vélo et camping. Des magasins de vélos un peu partout avec du bon matériel. (Ortlieb, Vaude, Schwalbe, Shimano...) Des magasins de sports bien achalandés avec toutes les marques connues un peu partout. Toutes les marques de vêtements techniques sont présentes.
Mais la Corée à un bon niveau de vie et les prix n'y sont pas plus intéressants qu'en France. (Idem pour l'électronique).
Internet : WIFI gratuit dans les villes, les auberges et les administrations.
Office de tourisme : Dans toutes les villes. Très bien documentés. Guides, cartes...
Quitter la Corée en Ferry (pour le Japon) : Plusieurs compagnies assurent des départs quotidiens pour le Japon au départ de Busan.

Ce que nous avons aimé : 
La beauté des paysages en automne, la gentillesse et l'hospitalité des Coréens, la facilité de circuler, de planter sa tente partout, la sécurité (Le fait de laisser son vélo sans surveillance avec tout dessus).
Les villes : grouillantes, paisibles et propres.

Ce que nous avons moins aimé : 
Le coté trop encadré, trop sécurisé, trop balisé des parcs nationaux (qui sont tous payants).
Le manque cruel de poubelles. (Pourtant le pays est propre).
Peu de cartes routières de bonne qualité (échelle adapté au vélo).



 

RUSSIE

Nous y sommes restés 50 jours pour 1 746 km du 20 août au 8 octobre 2014

Obtention du visa.
A Helsinki (Finlande), Nous avons obtenu un visa de 3 mois en 8 jours ouvrables. coût : 100 euros lettre d'invitation comprise.
Pièces à fournie : Passeport valable 6 mois après la date retour, 2 pages vierges (côte à côte), 1 photo et une attestation d'assurance. (Une copie à suffit. Nous n'avions pas d'original, n'ayant pris une assurance que en cours de voyage).
Passage de la frontière : Nous sommes passé par la frontière Estonienne à Narva.
Durée de passage : 1/4 d'heure. 2 papiers à remplir et un tampon sur le passeport. Les vélos passent (tout juste) à travers le portique de détection (donc pas besoin de démonter les sacoches).
Il faut emprunter le "passage" des piétons et non celle des véhicules.
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 49 RUB.Change d'espèces plus intéressant que la CB.
DAB dans toutes les villes et villages.
Généralités : En Russie on parle... Russe. Peu de personnes parlent Anglais ou Français. Cela rend la tâche un peu compliquée dans les administrations.
Un dictionnaire Français-Russe-Français devient obligatoire.
Météo : Sur la durée de notre séjour, nous avons eu de la pluie sur la partie occidentale (Saint Pétersbourg - Moscou). Temps Clair, mais températures froides sur la partie Sibérie.
Bivouac : Facile à pratiquer. Beaucoup de forêts, moins facile à trouver des endroits aérés.
Trouver de l’eau : L'eau n'est pas potable en Russie. Filtre à eau ou "micropur" indispensable.
Les cours d'eau, les lacs, les stations services (PAs d'eau dans les cimetières).
Relation avec les autochtones : Excellente, mais il y à la barrière de la langue. Si vous demandez l'hospitalité, vous serez accueillis et bien accueillis... Pas d'accueil spontané.
Campings : Nous en avons trouvé un dans la banlieue de St Pétersbourg. Sinon, inexistant.
Pour la nourriture, il y a des "super-marchés" dans toutes les villes ouverts touts les jours. Dans les capitales, des super-marchés comme nous pouvons les connaitre en France. 
Dans les villages, ce sont plutôt de épiceries. Pas toujours facile à trouver, car souvent en rez de chaussée d'un immeuble, ou dans une maison de particulier. Il faut pousser la porte comme si l'on rentré chez une personne...
Ex : Pain de 500 Gr : 20 RUB (0,41 €)  4 Yahourts : 52 RUB (1,061 €)  Confiture 1 KG : 92 RUB (1,87 €)  500 Gr de Salami : 65 RUB (1,33 € ) Pommes 1 KG : 99 RUB (2,02 €) Bananes 1 Kg :  65 RUB (1,33 € ) Snickers 95 GR Gr :35 RUB (0,71 €) Spaghetti 1 kg : 88 RUB (1,80 €)
Routes de Russie.
Pas toujours en bon état (voire rarement).
Grands axes goudronnés et assez fréquentés (avec des trous et bosses), avec de bas cotés non asphaltés.
Routes secondaires, très souvent de la terre battue (pas idéal par temps humide).
Les automobilistes et les routiers sont dans l'ensemble respectueux des cyclos. (moins en villes).
Equipement vélo et camping. Très rares et avec du matériel peu adapté au voyage. 
Mieux vaut partir avec des vélos en bon état...
Internet : Ordinateurs et internet à "La Poste". (Payant) Des connections WIFI dans certaines villes. Souvent gratuites dans les auberges et cafés.
Pas d'office de tourisme en Russie.
Vélo et Transsibérien.
Etant donné la grandeur du pays, notre visa de 3 mois, l'hiver qui approche et notre désir de voyager sur la ligne mythique, nous avons emprunté le transsibérien.
Obtenir les billets : Facile. Il y à des sites en Anglais. Recopiez le numéro du train, les horaires, les places que vous désirez et rendez vous à la gare en présentant votre bout de papier au guichet. Attention l'achat en ligne des billets sur les sites en Anglais revient plus cher que au guichet. Par contre l'achat des billets sur le site des chemins de fer Russe (site en Russe uniquement) est au même prix qu'au guichet. Pour le trajet Moscou-Irkustk, nous avons acheté un e-billet via le site Russe en nous faisant aider par Irina une Russe Anglophone rencontrée à Moscou.  (Pour nous éviter les frais bancaires, c'est elle qui à payée avec sa CB et nous l'avons remboursés en espèces).
Trajet Moscou-Irkustk en 3ème classe : 5000 RUB (100 euros) 4 nuits.
Pour le trajet Ulan-Udé, Vladivostock, nous sommes allés au guichet de la gare.
Enregistrement des vélos : Un grand moment. Il faut trouver le guichet des bagages accompagnés et se faire comprendre. A Moscou gare de Iaroslavi, guichet N° 21. On à payé 500 RUB (10,20 €) pur mettre nos vélos dans un compartiment bagages. Il c'est avéré que ce compartiment n'existait pas....mais les vélos ont embarqués quand même.
Pour le trajet Ulan Udé - Vladivostock, nous avons renoncés à expliquer notre problématique vélo au guichet. Les vélos ont étés chargés avec nous (il y à la place au dessus des couchettes), mais stockés dans un autre wagon sur décision des responsables de wagon (petit supplément bagages (5 euros)).
Carte d'immigration et enregistrement : Normalement, il faut se faire enregistrer tous les jours dans les hôtels. Certains hôtels demandent des frais pour ce service. D'autres le font gratuitement. 
Nous l'avons fait une fois à St Pétersbourg. Le reste du temps nous avons bivouaquer ou oublié de le demander.... A la sortie du territoire, rien ne nous à été demandé.
Quitter la Russie en Ferry (pour la Corée ou le Japon) : DBS Cruise assure une traversée par semaine (le mercredi) de Vladivostoc en direction du Japon, avec une escale en Corée. Sur le site de la compagnie, il est indiqué que les vélos ne sont pas acceptés. C'est faux. Les vélos sont acceptés moyennement la somme de 20 USD payables à l'embarquement.. Ils faut juste les monter par la passerelle passagers. 
Les formalités pour quitter le pays sont rapides. Passage des bagages sur le tapis roulant du détecteurs. Pour notre part, les bagages sont restés sur le vélo..... 

Ce que nous avons aimé : 
St Pétersbourg, Moscou, le Baïkal, Ulan Udé. Le transsibérien.
La gentillesse des Russes, leur sens de l'hospitalité et leur générosité.
L'Omoul du Baïkal

Ce que nous avons moins aimé : 
L'état des routes, la monotonie des paysages (forêts de bouleaux....)
La difficulté de communication (On aurait du apprendre la langue...)
Les hôtels difficiles à trouver.
Les feux tricolores pour piétons qui durent 10 secondes au vert et 60 secondes au rouge....
Les vélos dans les trains (Même si tout se termine bien, c'est une source de stress).


 

NORVEGE

Nous y sommes restés : 55 Jours pour 3 900 Kms du 24 mai au 17 juillet 2014.
Taux de change moyen obtenu : 1 euro pour 8,20 NOK (commission bancaire de 2% incluse)
Généralités : La Norvège est un pays  très développé, on y trouve de tout comme à la maison.
Idéale pour le cyclo-campeur autonome et itinérant. Pas adaptée pour faire des « boucles » à la journée.
Un pays cher si l’on est pas autonome. (Hôtels, restaurants…).
Les offices du tourisme sont très bien documentés (cartes, plans, guides…), mais ne connaissent pas la problématique du cyclo.
Météo : Sur la durée de notre séjour, nous avons eu 4 jours de pluie et de froid. Le reste du temps nous avons eu chaud… (Année exceptionnelle ???)
Les insectes volants et piquants : Les taons, assez présents. Les moustiques, assez peu rencontrés, les moucherons (migues), nous auront délogés 2 fois. Insupportables, car très nombreux et faisant des piqures laissant des petits boutons rouges, nous n’avons pas su nous en débarrasser autrement qu’en fuyant.
Bivouac : Facile à pratiquer partout, avec des coins idylliques très fréquents.
Trouver de l’eau : Aucun problème. Cimetières, églises, stations services, aires de pique nique, ruisseaux, cascades….
Relation avec les autochtones : Excellente, mais il faut aller vers eux. Le cyclo-campeur est très bien vu par toute la population qui se mettra en 4 si vous avez un problème ou si vous demandez l’hospitalité.
Campings : Pratiquement dans toutes les villes. Souvent bien équipés avec coin cuisine (idéal pour se mettre à l’abri). Tarifs pou une tente et  deux adultes de 100 NOK (12,2 €) ( ** dans des coins pas touristiques) à 300 NOK (36,60 €) (*** dans les lieux touristiques) Les douches sont souvent payantes pour une durée limitée…. (15 NOK (1,83 €) pour 3 minutes)
Pour la nourriture, il y a des super-marchés dans toutes les villes avec des horaires très larges (7-23) (fermés le dimanche). Dans les villes moyennes et grandes il y à des « discount » REMA 1000 et KIWI minipris. Leurs produits « first price » correspondent à ce que l’on peut trouver chez nous.
Ex : Pain de 750 Gr : 8 NOK (0,97 €)  4 Yahourts : 15 NOK (1,83)  Confiture 1 KG : 15 NOK (1,83 ) Boite de sardine/Maquereau  110 GR : 5 NOK (0,61 €)   250 Gr de Salami : 25 NOK (3,05 ) Néctarines 1 KG : 20 NOK (2,44 €) Bananes 1 Kg :  15 NOK (1,83 € ) Chocolat 200 Gr : 20 NOK (2,44 €) Spaghetti 1 kg : 10 NOK (1,22 €)…..
Etat des routes : En excellent état. Certaines routes secondaires sont non goudronnées, mais en bon état. Il existe de nombreuses « routes à vélo » en parallèle des routes et dans les villes.
Le problème reste les tunnels qui  ne sont pas tous autorisés aux vélos. Surtout dans le sud. Par contre, il existe souvent des alternatives : Anciennes routes, routes qui passent au-dessus, routes qui contournent….Sinon il y à les bus. Ils prennent les vélos.
Un excellent site pour les tunnels : cycletourer.co.uk
Equipement vélo et camping. Des vélocistes et marchands de matériel technique  (Gaz, réchauds, tentes…) bien achalandés dans toutes les villes moyennes et grandes.
Internet : Des connections WIFI dans toutes les villes. Souvent gratuites dans les offices de tourisme, les bibliothèques et les campings. Peu de cyber-cafés.

Ce que nous avons aimé :
Pratiquement tout. Les paysages, les routes, le respect des cyclistes, les gens, la facilité de bivouaquer, le climat, les journées de 24 heures.
Ce que nous avons moins aimé :
Les tunnels interdits aux vélos, les très nombreux automobilistes qui n’éteignent jamais leur moteur de voiture. (même pendant les courses au super marché, les attentes aux ferry…), la Tunnelite aigüe et l’élargissement systématique des routes….
Le fait de pas pouvoir acheter du poisson frais......(un comble pour ce pays de pêcheurs).

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